des documentaires et d'autres sources d'informations...http://docusdunet.net/shaarli/http://docusdunet.net/shaarli/http://docusdunet.net/shaarli/L'illusion de la démocratie en France ? Juan Branco [EN DIRECT] - YouTubehttp://docusdunet.net/shaarli/?2El9IAInterview de Juan Branco en direct, le 13 mars 2019 à 19h00<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?2El9IA">Permalink</a>)On S'est Planté... - YouTubehttp://docusdunet.net/shaarli/?5s_upASincèrement, on s'est planté. L’inconfort précède le changement, et cette discussion que j'ai eue avec Félicien (Biais Vert) est fortement inconfortable et absolument NÉCESSAIRE. Je dis depuis 5 ans qu'on a 5 à 10 ans pour éviter le pire. Après 5 années de défaites (comment appeler autrement les victoires symboliques minimes que nous avons arrachées ?) et avec les appels alarmistes des scientifiques, on devrait être en train de paniquer, de revoir radicalement notre copie, de chercher des chemins de traverse. Il n'en est rien. Cette vidéo est la discussion que je souhaite que nous ayons, collectivement. On ne veut pas culpabiliser qui que ce soit, mais bien nous encourager collectivement à faire mieux<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?5s_upA">Permalink</a>)Gilets Jaunes : le début de la fin pour l'UE ? [EN DIRECT] - YouTubehttp://docusdunet.net/shaarli/?haa09QTable ronde avec Jacques Sapir, Olivier Berruyer et Olivier Delamarche, en direct le 16/01/2019 à 19h.<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?haa09Q">Permalink</a>)The fourth world war (vost) - part 1/5 - Vidéo Dailymotionhttp://docusdunet.net/shaarli/?ybHaZQUn documentaire de Big Noise Tactical - 2004 - 1 h 16 mn<br />
<br />
From the front-lines of conflicts in Mexico, Argentina, South Africa, Palestine, Korea, 'the North' from Seattle to Genova, and the 'War on Terror' in New York, Afghanistan, and Iraq.<br />
It is the story of men and women around the world who resist being annihilated in this war.<br />
<br />
Filmé simultanément aux premières lignes des conflits au Mexique, en Argentine, en Afrique du Sud, en Palestine, en Corée, en Afghanistan et en Irak, mais aussi lors des grands rassemblements de Seattle, de Gênes et de Québec, ce film engagé témoigne des luttes que mènent des hommes et des femmes contre l’oppression, l’injustice et la violence qui leur sont imposées. The Fourth World War traite de cette guerre sournoise que les États, en concomitance avec les grands groupes financiers et industriels, livrent contre les intérêts et les besoins des citoyens du monde.<br />
Tourné sur cinq continents durant plus de deux ans, The Fourth World War fait l’inventaire des nombreux mouvements citoyens qui ont pris naissance un peu partout sur la planète, comme pour écrire une nouvelle page d’histoire composée d’actes de résistance au néo-libéralisme.<br />
Produit grâce à un réseau international de médias indépendants et de groupes activistes, ce film est ironiquement un pur produit de la mondialisation par son contenu et son processus de création.<br />
<br />
Big Noise Films est un collectif bénévole et sans but lucratif de réalisateurs internationaux, qui se consacre à la production et à la distribution de films à caractère révolutionnaire.<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?ybHaZQ">Permalink</a>)Pierre Carles : Ni Vieux Ni Traitres - Nemesis TVhttp://docusdunet.net/shaarli/?TtJWqQNi vieux, ni traîtres, (coréalisé par Pierre Carles et Georges Minangoy), 2006, consacré à Action directe, groupe activiste d'extrême gauche.<br />
<br />
<br />
<br />
Action directe (AD) est un groupe clandestin (aux influences initialement anarchistes mais qui s'est distancié de cette idéologie pour épouser la cause marxiste-léniniste (communiste)) empruntant leur nom au principe anarchiste de la théorie politique libertaire de l'action directe. Ils ont revendiqué une cinquantaine d'attentats ou d'assassinats sur le territoire français entre 1979 et 1987. Action directe a été interdite par un décret du 19 août 1982 prononçant la dissolution de l'organisation pour activités terroristes.[réf. nécessaire] Ses membres ont été jugés par une formation spéciale de la cour d'assises de Paris.<br />
<br />
Action directe est le résultat de la fusion des membres des GARI (Groupes d'action révolutionnaire internationalistes) qui ne voulaient pas ranger les armes après la mort de Franco et des NAPAP (Noyaux armés pour l'autonomie populaire), qui aboutit en 1977 à la création d'une « coordination politico-militaire interne au mouvement autonome ». Cette coordination se transforme en 1979 en une « organisation de guérilla » qui commence alors à revendiquer ses attaques sous le nom d'Action directe, expression empruntée à l'anarcho-syndicalisme du début du XXe siècle mais avec laquelle la pratique d'AD n'a rien à voir, au nom de la lutte contre l’impérialisme capitaliste, des symboles de la puissance de l’État, le grand patronat et la défense du prolétariat. Ils ne font alors que des dégâts matériels. Plusieurs de ses membres sont arrêtés et emprisonnés.<br />
<br />
Après l'élection de Mitterrand en 1981 le nouveau gouvernement joue l'apaisement et amnistie les condamnés. La majorité des militants renonce alors à la violence, abandonnant jusqu'au nom et au sigle d'Action directe mais une minorité (regroupée en une branche parisienne et une branche lyonnaise) choisit de passer à la lutte armée. À partir de 1984, la branche parisienne Action directe s'allie à la Fraction armée rouge dans le cadre de la stratégie d'« unité des révolutionnaires en Europe de l'Ouest », la branche lyonnaise se tournant vers l'attaque de banques et des attaques contre des objectifs israéliens.<br />
<br />
Action directe ou des membres d'AD ont notamment participé :<br />
<br />
* au mitraillage du siège du patronat le 1er mai 1979 ;<br />
* au hold-up de Caluire le 29 octobre 1980 au cours duquel un convoyeur de fonds est tué ;<br />
* à des attaques contre des ministères, la Sonacotra, des agences immobilières, des bâtiments de l'armée française, des sociétés liées au programme militaire français ;<br />
* à des attaques contre l'État israélien (mitraillage de la mission commerciale de l'ambassade d'Israël, le 31 mars 1982, attaque à la bombe contre le Citrus Marketing Board of Israel, le 11 août de la même année[3]) ;<br />
* à l'assassinat le 13 mars 1982 de Gabriel Chahine, membre du GARI et indicateur de police qui avait permis la première arrestation de Rouillan et Ménigon en 1980 ;<br />
* à l'assassinat de deux policiers (en blessant un troisième grièvement) avenue Trudaine à Paris le 31 mai 1983 ;<br />
* au hold-up de l'avenue de Villiers à Paris le 14 octobre 1983 au cours duquel un des participants, Cino Rizzato, est tué ;<br />
* au hold-up de la place Victor-Hugo à Lyon le 27 mars 1984 où le général de gendarmerie Guy Delfosse est tué en tentant de s'interposer ;<br />
* à l'assassinat du général Audran (responsable des ventes d'armes de l'État français) le 25 janvier 1985 ;<br />
* aux tentatives d'assassinat manquées sur Henri Blandin (contrôleur général des armées) en 1985 et Guy Brana (vice-président du CNPF, ancêtre du MEDEF) en 1986 ;<br />
* à l'attentat à la bombe le 9 juillet 1986 à Paris dans les locaux de la brigade de répression du banditisme, quai de Gesvres, dans lequel l'inspecteur Marcel Basdevant est tué ;<br />
* à l'assassinat de Georges Besse, PDG de la Régie Renault le 17 novembre 1986. C'est en tant que représentant d’une entreprise à vocation internationale que Georges Besse est tué, mais également en tant que dirigeant d'une entreprise employant un vigile qui a tué un militant maoïste Pierre Overney. Toutefois, le journaliste d'investigation Dominique Lorentz, a mis en cause la question de l'assassinat de Besse, en soulignant la proximité de cette affaire avec Eurodif, que Besse avait dirigé, et le programme nucléaire iranien (à laquelle la France participait alors)<br />
* à de nombreux vols à main armée n'ayant pas entrainé mort d'homme et revendiqués par le groupe comme des « expropriations prolétariennes ».<br />
<br />
Plus globalement, ce groupe a été l'expression en France d'un courant se revendiquant du marxisme et défendant l'idée que les actions violentes étaient un moyen légitime de renverser un régime considéré comme oppressif. Durant ce qu'on a appelé les « années de plomb », de nombreux groupuscules ont repris l'idéologie de la « propagande par le fait » prônée par certains militants anarchistes lors des deux dernières décennies du XIXe siècle : la Fraction armée rouge (ou « Bande à Baader ») en Allemagne occidentale, les Brigades rouges en Italie, Armée rouge japonaise au Japon, 17-Novembre en Grèce, IRA en Irlande, Cellules communistes combattantes en Belgique, ETA au Pays basque, Weathermen aux États-Unis, MLSBP et Devrimci Sol en Turquie, etc.<br />
<br />
Le 21 février 1987, les principaux membres d'Action directe, Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon, Joëlle Aubron, et Georges Cipriani ont été arrêtés dans une ferme au gué Girault, lieu-dit de la commune de Vitry-aux-Loges, dans le Loiret. Ils ont été tous les quatre condamnés (tout comme Régis Schleicher, arrêté en 1984) à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine incompressible de 18 ans.<br />
<br />
La peine de Joëlle Aubron a été suspendue en juin 2004 pour raisons de santé. Elle est décédée à Paris le 1er mars 2006 d'une tumeur au cerveau. Jean-Marc Rouillan tient une chronique sur l'univers carcéral dans le journal CQFD. Les demandes de libération anticipée de Régis Schleicher et de Nathalie Ménigon ont été jusqu'à maintenant repoussées par le tribunal de l'application des peines. Nathalie Ménigon a été victime en prison de deux accidents vasculaires cérébraux qui l'ont laissée partiellement hémiplégique.<br />
<br />
Fin mars 2007 une pétition de 6 500 signatures pour la libération des détenus d'Action directe a été apportée au ministre de la Justice Pascal Clément (UMP).<br />
<br />
Le 10 mai 2007, le tribunal d'application des peines de Paris a accordé un régime de semi-liberté à Nathalie Ménigon, emprisonnée depuis 1987. Elle travaillera la journée et retournera dormir en prison, mais le parquet a immédiatement fait appel de cette décision. Le jeudi 19 juillet 2007, la chambre d'application des peines de la cour d'appel de Paris lui a finalement accordé le regime de semi-liberté.<br />
<br />
Nathalie Ménigon, à qui un régime de semi-liberté a été accordé à partir du 2 août, a été transférée mardi 24 juillet 2007 du centre de détention de Bapaume (Pas-de-Calais) à la maison d'arrêt de Toulouse-Seysses.<br />
<br />
Jean-Marc Rouillan obtient un régime de semi-liberté à partir du 17 décembre 2007.<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?TtJWqQ">Permalink</a>)Les Trotskystes - Vidéo Dailymotionhttp://docusdunet.net/shaarli/?FUM-cADocumentaire. Réalisé par Guy Girard. Scénario de Claude Askolovitch. Avec la collaboration de Jean Puyade. Musique de Jean-François Pauvros. Produit par JEM Productions.<br />
<br />
De Paris à Buenos Aires, de Jérusalem à Saint-Pétersbourg, des lendemains de la révolution d’Octobre en Russie aux récentes luttes syndicales en Amérique latine, entre road movie, histoire et inventaire, Guy Richard et Claude Askolovitch dressent un état des lieux de la nébuleuse trotskyste : ses fortes têtes, ses combats, ses désillusions, ses espoirs tenaces.On les a accusé d’être sectaires, secrets, parano, manipulateurs, hautains ; on leur a reproché de pratiquer l’entrisme, le noyautage, la déstabilisation, l’agitation, la scission systématique. D’être tout bonnement des emmerdeurs. Et il y avait souvent du vrai là-dedans. Mais peu de courants politiques ont été aussi haïs, peu de militants autant détestés, calomniés, trahis, pourchassés, jugés, emprisonnés, déportés, exécutés, assassinés… "Je ne conseille pas à mes enfants d’être trotskystes comme moi, confie Hoang Don Tri, vieux militant vietnamien de la première heure, il faut tout donner, jusqu’à sa vie, parfois, et ne recevoir que des coups et des insultes."<br />
<br />
Après la mort de Lénine (1924), l’opposition entre Staline et Trotsky ne cesse de se durcir. C’est moins un problème de personnes, comme on l’a parfois prétendu, qu’une question de modèles et de programmes antagonistes : bureaucratie et construction du socialisme dans un seul pays, d’un côté, prolétariat et appel à la révolution mondiale, de l’autre. L’affrontement entre les deux hommes tourne comme on sait en défaveur de Trotski, exclu du PC, déporté puis banni d’URSS en 1929, menant en Turquie, en France, en Norvège une vie d’exilé aux abois, pourchassé par les sbires de Staline, expulsé par les autorités, mais nouant des contacts et travaillant sans relâche à dénoncer la trahison des idéaux révolutionnaires et de l’héritage de Lénine par Staline et ses bureaucrates. Et surtout – la grande œuvre de sa vie – jetant les bases de ce qui deviendra en 1938 la IVe Internationale.<br />
<br />
C’est évidemment trop pour le maître du Kremlin, qui avait pensé mettre son rival hors-jeu. Au cours des sinistres procès de Moscou, en 1936, l’accusation de trotskysme sert opportunément à désigner tout ce qui ressemble à une opposition de gauche à Staline. Puis c’est la répression. À l’intérieur du pays. Un million de fusillés, dit-on, rien que dans la région de Moscou entre 1937 et 1941. A l’extérieur également. On traque les "hitléro-trotskystes", les hyènes fascistes, on calomnie, on liquide en Espagne les anarchistes de la CNT et les marxistes antistaliniens du POUM – on liquide surtout à vrai dire tout risque de révolution à l’extérieur de l’URSS. En août 1940, Ramon Mercader, alias Jacques Mornard, alias Frank Jackson, espion stalinien et tueur professionnel du NKVD sous le nom de code de Gnome, finit par assassiner le proscrit, qui avait trouvé refuge non loin de Mexico auprès de Diego Rivera et Frida Kahlo. Staline semble tenir sa victoire. Et, de fait, c’est un rude coup pour les partisans du "Vieux", se souvient l’éditeur Maurice Nadeau, devenu trotskyste en 1934 après sa rencontre avec Pierre Naville. "Il a fini par l’avoir". Mais, au lieu d’un vaincu, Trotsky fait désormais figure de révolutionnaire incorruptible qui a payé de sa vie la fidélité à ses idées.<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?FUM-cA">Permalink</a>)▶ La Société du spectacle (1973) - Guy Debord [MultiSub] - YouTubehttp://docusdunet.net/shaarli/?fZZ5EgLa Société du spectacle est un film français réalisé par Guy Debord, sorti en 1973. Ce film, selon la théorie du détournement developpée par les situationnistes, se compose d'extraits d'autres œuvres mis en lien avec certains passages du livre du même nom, lus par lui-même.<br />
<br />
La Société du spectacle est à la base un livre de Guy Debord publié en 1967. Il est composé de 221 paragraphes divisés en 9 chapitres.<br />
<br />
La phrase d'ouverture est un détournement de la phrase d'ouverture du Capital de Karl Marx :<br />
<br />
« La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s'annonce comme une "immense accumulation de marchandises". » (première phrase de Marx)<br />
« Toute la vie des sociétés dans lesquelles règnent les conditions modernes de production s'annonce comme une immense accumulation de spectacles. » (première phrase de la Société du Spectacle )<br />
<br />
Le livre est agencé comme un essai politique utilisant la forme de la thèse, et non comme un ouvrage de philosophie, dont il dit qu'elle doit trouver sa réalisation et non plus sa discussion, pour reprendre le mot de Karl Marx. En cela il expose son sujet de manière affirmative plutôt que discursive, il ne cherche pas à démontrer, ou même à convaincre, mais à montrer : un exemple dans la sobriété de sa thèse 9, qu'il énonce en une seule ligne :<br />
<br />
« Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. »<br />
<br />
Ce relatif laconisme comparé à d'autres ouvrages situationnistes comme ceux de Raoul Vaneigem rendit relativement difficile les commentaires ultérieurs du texte, par l'usage de Guy Debord du style hégelien. Si Guy Debord fait apparaître dans son livre une interprétation de la critique marxienne du fétichisme de la marchandise développée dans le premier chapitre du premier livre du Capital (1867), elle-même faisant suite à la théorie de l'aliénation exposée dans ses Manuscrits de 1844, son originalité se situe précisément dans la description de l'avance contemporaine du Capital sur la vie de tous les jours, dans les moyens qu'il emploie et dans ses finalités modernes de conquête, dans son emprise sur le monde à travers la marchandise.<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?fZZ5Eg">Permalink</a>)Guy Debord Réfutation de tous les jugements,tant élogieux qu'hostiles - YouTubehttp://docusdunet.net/shaarli/?_CMi6ARéfutation de tous les jugements, tant élogieux qu'hostiles, qui ont été jusqu'ici portés sur le film 'La société du spectacle'<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?_CMi6A">Permalink</a>)Décroissance & Révolution Tertrais FA - Vidéo Dailymotionhttp://docusdunet.net/shaarli/?V9kopwmeeting de jean-pierre Tertrais: "décroissance et révolution", rennes, 28 mars 2006<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?V9kopw">Permalink</a>)▶ Coup d'État contre Chávez - La révolution ne sera pas télévisée - YouTubehttp://docusdunet.net/shaarli/?iLaSgwSource : Wikipedia<br />
<br />
Le documentaire Coup d'État contre Chavez (Arte, 2004) ou The revolution will not be televised ou encore Chávez, the film, réalisé par Kim Bartley et Donnacha O'Briain, a été tourné alors que les deux réalisatrices préparaient un documentaire sur le président Hugo Chávez au Venezuela. Elles se trouvaient à l'intérieur du palais présidentiel quand fut déclenché, le 11 avril 2002, le coup d'État conduit par les propriétaires des chaînes privées, les cadres de la compagnie pétrolière du Venezuela, ainsi qu'une poignée de dirigeants militaires avec le soutien, entre autres, des États-Unis, de l'Espagne, de la Colombie et du Salvador. Le film présente la chronologie du putsch et la mobilisation des millions de Vénézuéliens qui entraina le retour au pouvoir d'Hugo Chávez 48 h après le début du coup, grâce à la garde présidentielle.<br />
<br />
Ce documentaire a obtenu, entre autres, deux prix au Grierson documentary awards anglais en 2003.<br>(<a href="http://docusdunet.net/shaarli/?iLaSgw">Permalink</a>)