des documentaires et d'autres sources d'informations...https://docusdunet.net/shaarli/https://docusdunet.net/shaarli/https://docusdunet.net/shaarli/L'illusion de la démocratie en France ? Juan Branco [EN DIRECT] - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?2El9IAInterview de Juan Branco en direct, le 13 mars 2019 à 19h00<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?2El9IA">Permalink</a>)CES MILLIARDAIRES QUI NOUS FONT LES POCHES - DENIS ROBERT - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?ocn-dAThéophile Kouamouo a reçu le journaliste d'investigation Denis Robert. Dans son dernier livre « Les Prédateurs : des milliardaires contre les États », il traque les profits de deux milliardaires discrets passés maîtres dans l’art de piller les États, dont la France : le Canadian Pierre Desmarais et le Belge Albert Frère. Ils sont notamment impliqués dans le rachat de GDF Suez, dans le scandale de la vente de Quick à caisse des dépôts et des consignations, dans le scandale UraMin, et le scandale Petrobas au Brésil.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?ocn-dA">Permalink</a>)[ZAP] ARTICLE 13 : YOUTUBE VS EUROPE (UnderZap HS) #saveyourinternet - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?bdGqkADans un monde où les nouvelles multinationales du GAFAM se gavent, les multinationales plus anciennes ne comprennent pas pourquoi elles ne se gaveraient pas aussi. D'autant que ça faisait partie de leurs habitudes et qu'elles s'en étaient jusque là très bien accommodées. Au milieu se trouvent les créateurs, youtubeurs et autres vidéastes amateurs. Voici leur histoire.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?bdGqkA">Permalink</a>)Les Quatre Cavaliers (2012) [VOSTFR] - avec Noam Chomsky, Joseph Stiglitz, John Perkins, etc. - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?wBq0XA« Four Horsemen » est un film indépendant réalisé par Ross Ashcroft, qui dévoile les rouages du système économique dominant actuellement la planète. La croissance infinie et la recherche du profit ont poussé l'humanité au bord du précipice. Et les quatre cavaliers d'aujourd'hui sont la violence, la dette, l'inégalité et enfin la pauvreté. Si leurs galops infernaux ne sont pas arrêtés, ils risquent de compromettre la pérennité des futures générations.<br />
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L'économie mondiale va mal. La crise se transformant rapidement en catastrophe, de plus en plus de gens se mettent en quête de conseils avisés sur la manière de restructurer l'économie occidentale. Ces trois dernières années, 23 intellectuels - certains d'entre eux très controversés aux yeux de l'intelligentsia politico-médiatique - ont accepté de briser le silence et d'expliquer comment le monde fonctionne vraiment. Four Horsemen ne tombe ni dans la critique des mondes financier et politique ni dans la théorie du complot : le film analyse simplement le système économique dans lequel nous avons choisi de vivre et avance des propositions de changement.<br />
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Intervenants : Noam Chomsky Herman Daly Joseph Stiglitz Max Keiser John Perkins Ha-Joon Chang Gillian Tett Michael Hudson Richard Wilkinson Lawrence Wilkerson Satish Kumar Simon Johnson Camila Batmanghelidjh Phillip Blond George Nilson Dominic Frisby<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?wBq0XA">Permalink</a>)Le Citoyen (Etienne Chouard) - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?JzfnGApetite histoire illustrée d'Etienne Chouard<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?JzfnGA">Permalink</a>)▶ Chouard s'explique sur Soral - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?YuNCiAfascisme, racisme, libéralisme, socialisme,...,humanisme.<br />
J'aime bien sa capacité à expliquer les mots.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?YuNCiA">Permalink</a>)Les Confessions d'un assassin financier - John Perkins (Maraboo 666) - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?yYKfbwLes Confessions d'un assassin financier - Révélations sur la manipulation des économies du monde par les États-Unis est la traduction en français du livre Confessions of an Economic Hit Man écrit par John Perkins et publié en 2004. Perkins y relate sa carrière dans la firme de consultants Chas. T. Main (en) de Boston.<br />
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Avant d'être engagé par la firme, l'auteur affirme avoir passé une entrevue pour un travail à la National Security Agency (NSA). Perkins affirme que cette entrevue a servi de test pour devenir ce qu'il nomme un « assassin économique » (economic hit man).<br />
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Selon Perkins, il a commencé à écrire Confessions of an Economic Hit Man dans les années 1980.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?yYKfbw">Permalink</a>)Entretien avec Gérard Filoche - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?jkVBZwGérard Filoche, ancien inspecteur du travail et membre du Bureau National du Parti Socialiste, nous a reçu pour un long entretien portant sur une multitude de thématiques : l'affaire du tweet sur Total, la remise en cause du droit du travail, les divisions de la gauche, le gouvernement Valls-Macron, la mort de Remi Fraisse, le climat social explosif…<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?jkVBZw">Permalink</a>)Puissante et incontrôlée la troïka Arte 2015 02 24 - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?iU6p_Q(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?iU6p_Q">Permalink</a>)▶ Les nouveaux chiens de garde (2012) documentaire - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?QSWBKQLes médias se proclament "contre-pouvoir". Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d'un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations pré-mâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d'ascenseur.En 1932, l'écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s'imposaient en véritables gardiens de l'ordre établi.Aujourd'hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l'ordre social. Sur le mode sardonique, LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE dénonce cette presse qui, se revendiquant indépendante, objective et pluraliste, se prétend contre-pouvoir démocratique. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d'une information produite par des grands groupes industriels du Cac40 et pervertie en marchandise.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?QSWBKQ">Permalink</a>)Vérité sur l’évasion fiscale - Nemesis TVhttps://docusdunet.net/shaarli/?vcyPegLes journalistes Valentine Oberti et Wandrille Lanos ont obtenu le témoignage d’Hervé Falciani, l’ex-informaticien de la banque HSBC Genève qui avait quitté l’établissement en 2008, emportant avec lui la liste des clients.<br />
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Trois disques durs remplis de noms, d’adresses et de numéros de comptes révélant l’identité de tous ceux qui fraudent le fisc en cachant leurs avoirs en Suisse.<br />
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Menacé de mort et placé sous la protection de la police, l’homme livre sa vérité sur l’évasion fiscale.<br />
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Accusé de vol de données par la justice suisse, il avait choisi de partager la liste avec les services fiscaux de Bercy.<br />
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Mais certains acteurs du dossier accusent le gouvernement français d’avoir fait entrave au bon déroulement de l’enquête.<br />
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Cash investigation revient aussi sur le cas des entreprises «fraudeuses» implantées en France.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?vcyPeg">Permalink</a>)Thinkerview - Interview de Jérémie Zimmermann - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?o3mfUgVoir aussi la chaine Youtube : <br />
<a href="http://www.youtube.com/user/thinkerview?feature=watch" rel="nofollow">http://www.youtube.com/user/thinkerview?feature=watch</a><br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?o3mfUg">Permalink</a>)Entretien avec Etienne Chouard : le pouvoir de l'argent - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?FNc-dwUn autre son de cloche sur les bases du fonctionnement de nos systèmes économiques et politiques<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?FNc-dw">Permalink</a>)J'AI PAS VOTÉ - FILM COMPLET - 46 mn - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?HMw6sgJ’ai pas voté propose le bilan de cette crise politique et met en avant des solutions ayant déjà fait leurs preuves. Ce documentaire s’adresse à toute personne intéressée par la politique de manière générale et pas seulement à une minorité « élitiste » ou partisane qui s’interrogerait sur le sens d’une élection.<br />
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Débat avec Étienne Chouard, Jacques Testart et Yves Sintomer là : <a href="https://www.youtube.com/watch?v=xiDpyNtasGQ" rel="nofollow">https://www.youtube.com/watch?v=xiDpyNtasGQ</a><br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?HMw6sg">Permalink</a>)L'influence de l'écran sur le Cerveau - Nemesis TVhttps://docusdunet.net/shaarli/?VkrtPgDurée : 1:18:24<br />
Top Documentaire Français influence de l'écran sur le cerveau by www.tvzaz.com<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?VkrtPg">Permalink</a>)Zeitgeist "L'esprit du temps..." - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?OpF6Cwsource : <a href="http://zeitgeistmovie.com" rel="nofollow">http://zeitgeistmovie.com</a><br />
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Zeitgeist, produced by Peter Joseph, was created as a nonprofit filmiac expression to<br />
inspire people to start looking at the world from a more critical perspective and to understand that<br />
very often things are not what the population at large think they are. The information in Zeitgeist<br />
was established over a year long period of research and the current Source page on<br />
this site lists the basic sources used / referenced and the developing Interactive Transcript includes<br />
exact source references and further information. A Q & A page is also being developed.<br />
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Now, it's important to point out that there is a tendency to simply disbelieve things that are<br />
counter to our understanding, without the necessary research performed.<br />
For example, some information contained in Part 1 and Part 3, specifically, is not obtained<br />
by simple keyword searches on the Internet. You have to dig deeper. For instance,<br />
very often people who look up "Horus" or "The Federal Reserve" on the Internet<br />
draw their conclusions from very general or biased sources. Online encyclopedias or text book<br />
Encyclopedias often do not contain the information contained in Zeitgeist. However, if one takes<br />
the time to read the sources provided, they will find that what is being presented is<br />
based on documented evidence. Non-Profit DVDs / Free Video Downloads are<br />
available through the Downloads page.<br />
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That being said, It is my hope that people will not take what is said<br />
in the film as the truth, but find out for themselves, for truth is not told, it is realized.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?OpF6Cw">Permalink</a>)▶ Water Makes Money - Le Business de l'eau et ses marchands - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?uhi3IwWater makes money est un film documentaire indépendant (financé principalement par des dons) de Leslie Franke et Herdolor Lorenz, sur la thématique de la gestion de l'eau potable en France et en Europe. L'enquête mené par les auteurs amène à comprendre les enjeux des gestionnaires de l'eau (multinationales et communes), entre "partenariat public-privé" (proche de la privatisation) et ses dérives de corruption et régie (service public) des collectivités qui résistent en se réappropriant ce bien commun (ex: la mairie de Paris).<br />
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Veolia poursuit pour diffamation le documentaire[1].<br />
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source : wikipedia<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?uhi3Iw">Permalink</a>)Volem Rien Foutre Al Pais Pierre Carles DOC - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?ozH2UgDans cette guerre économique qu'on nous avait promise il y a bien des années et qui avance comme un rouleau compresseur, existe t-il encore un sursaut d'imagination pour résister ?<br />
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Mis en demeure de choisir entre les miettes du salariat précaire et la maigre aumône que dispense encore le système, certains désertent la société de consommation pour se réapproprier leur vie.<br />
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"Ni exploitation, ni assistanat !" clament-ils pour la plupart. Ils ont choisi une autre voie, celle de l'autonomie, de l'activité choisie et des pratiques solidaires...<br />
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communautés recherchant l'autonomie des besoins:<br />
1. un habitat basé sur des bottes de paille comme matériau de base, comparaison de coûts...<br />
2. les toilettes sèches au compost : une possibilité de dépolluer les cours d'eau à hauteur de 40% dans les campagnes<br />
3. alimentation en eau depuis la rivière en contrebas et un mécanisme de pompage sans énergie induite<br />
4. exemple d'une communauté réunissant des personnes ayant tourné le dos à l'assurance retraite<br />
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indépendance énergétique du foyer : comment « décrocher » le compteur EDF<br />
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Mouvement Okupa à Barcelone (occupation de logements laissés durablement vacants)<br />
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collectif Dinero gratis à Barcelone (prônant l'escamotage de denrées alimentaires dans les grands magasins de centre-ville par le biais de happenings)<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?ozH2Ug">Permalink</a>)Une journée dans la vie d'un pneu : Internet Archivehttps://docusdunet.net/shaarli/?t-FVnwRichard Puech et Alexi Mital, 2001, 1h15<br />
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Les mécanismes de la mondialisation libérale, à travers l’exemple de l’industrie du pneu.<br />
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De la récolte du cahoutchouc naturel dans les forêts d’Amazonie, à celle des exploitants asiatiques qui ont planté et aclimaté l’arbre, tous restent de très petits producteurs face aux 5 multinationales acheteuses. Ce film évoque les accords entre ces dernières pour uniformiser l-et réduire- les prix d’achat, les tentatives des exploitants (Thaïlande, Malaisie, Indonésie) de se regrouper également pour mieux se défendre, comme celles des ouvriers occidentaux et sud américains de mondialiser leur combat syndical face à la fermeture de leurs usines.<br />
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La question du pouvoir des gouvernements face aux multinationales est posée, elle renvoit au pouvoir des actionnaires, à travers, notamment les fonds de pension.<br />
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Enfin il est question du recyclage de ces montagnes de pneu usagés...<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?t-FVnw">Permalink</a>)L'Age de la stupidité (The Age of Stupid) - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?86EdDwL'acteur Pete Postlethwaite, nommé aux Oscars, incarne un homme vivant seul dans le monde dévasté de 2055, et qui regarde de vieilles images télé datant de 2008 en se demandant : Pourquoi n'avons-nous pas empêché le changement climatique tant que nous le pouvions ?<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?86EdDw">Permalink</a>)▶ BOURDIEU "SUR LA TÉLÉVISION" - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?iXqN0gSur la télévision est un livre de Pierre Bourdieu retranscrivant le contenu de deux émissions télévisées de Gilles l'Hôte : Sur la télévision et Le champ journalistique, réalisées et diffusées en 1996, dans le cadre d'une série de cours du Collège de France. Sur la télévision est suivi d'un article reprenant les mêmes thèmes de façon plus abstraite et plus précise : L'emprise du journalisme.<br />
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BOURDIEU "SUR LA TÉLÉVISION"<br />
envoyé par MELMOTH<br />
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Dernière mise à jour : 06-03-2008 17:37<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?iXqN0g">Permalink</a>)L'art de raconter les histoires ( storytelling) 1/3 - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?zDlCkwNous sommes entrés dans l'âge du narratif. Pour le meilleur et pour le pire. Pour le meilleur, d'abord, parce que la force de toute société vient de son récit fondateur, de l'histoire partagée en commun par les individus qui la composent. D'où l'attention toute particulière portée par les entreprises à leur histoire, leur passé et, par ricochet, à leurs valeurs. Pour le pire enfin, et c'est sur ce point que se fonde toute l'argumentation de Christian Salmon, car le récit a de plus en plus tendance à être instrumentalisé à des fins de gestion ou de contrôle. L'auteur va même jusqu'à parler de hold-up sur l'imagination des citoyens ou des salariés. Le « storytelling », c'est-à-dire l'art de raconter des histoires, inventé aux Etats-Unis au milieu des années 90, rencontre un immense succès. Le National Storytelling Network regroupe des milliers de personnes et près de 200 festivals de storytelling sont organisés chaque année outre-Atlantique. C'est bien ce qui inquiète. Plus aucune sphère de la vie des individus n'y échappe, selon Christian Salmon : le marketing, la politique en ont fait leur maître mot, et bien sûr le management. Car l'entreprise est un des lieux de sociabilité où se produisent et s'échangent quantité de récits. La cantine et la machine à café étant des hauts lieux de cette production narrative. Or le storytelling entend contrôler cette mise en récit au profit de l'entreprise, en privilégiant naturellement les « succes stories ». En somme, lorsque les arguments rationnels n'ont plus de prise sur vos collaborateurs, racontez-leur une belle histoire et les voilà regonflés à bloc. On pourrait espérer que la nature humaine soit moins naïve. Quoique<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?zDlCkw">Permalink</a>)L'histoire des choses - The Story of Stuff par Annie Leonard - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?VuC7Ng"La vie d'un truc" ou "l'histoire d'un machin" ce sont les traductions possible de "The story of stuff" le film d'Annie Leonard. Ce document d'une vingtaine de minutes nous rappelle le cycle de vie de tous ces objets que l'on consomme au quotidien sans vraiment savoir d'où ils viennent et ou ils vont. Annie Léonard explique d'une façon ludique et sérieuse comment fonctionne l’économie globale matérialiste et ses conséquences sur l’économie, l’environnement et la santé.<br />
Accrochez vous, ça va vite mais c'est passionnant !<br />
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<a href="http://www.storyofstuff.com" rel="nofollow">http://www.storyofstuff.com</a><br />
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<a href="http://pourunmondedurable.blogspot.com/2008/06/la-vie-dun-truc.html" rel="nofollow">http://pourunmondedurable.blogspot.com/2008/06/la-vie-dun-truc.html</a><br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?VuC7Ng">Permalink</a>)Slavery by Consent - Pt.1 (Opener) - HD - VOSTFR - Nemesisnom - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?oyJN0gDescription : Nouvelle série de Bushwack productions du Wakeup Project, " Slavery by Consent " autrement dit l'esclavagisme par le consentement.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?oyJN0g">Permalink</a>)▶ Graines de résistances - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?Wqw6MQ«Semences en résistance»<br />
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A propos de l’industrie des semences et des législations sur les semences de l‘UE et de l’engagement pour la souveraineté semencière<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?Wqw6MQ">Permalink</a>)La Vérité Mais Pourquoi Faire ? - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?EEEfMQLe tabac tue 6 millions de personnes chaque année. Les industriels du tabac sont condamnés à des milliards de dollars d'amendes. Ils sont astreints par la justice à rendre public leurs documents secrets prouvant leur stratégie meurtrière. Mais pourtant l'industrie du tabac se porte bien. Très bien. Alors à quoi sert la vérité ? Voyez les "whistleblowers", les lançeurs d'alerte, Julian Assange, Chelsea Manning, Edward Snowden qui parle ces jours-ci. Des traîtres pour le pouvoir, des héros pour tous ceux qui refusent que le pouvoir cache ces stratégies opérées "en notre nom".<br />
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En 1971, le scandale des "Pentagon Papers", les documents militaires secrets clandestinement transmis au New York Times, dévoilait soudain les mensonges du pouvoir concernant la guerre du Vietnam. Quelles furent les conséquences de cette publication ? Le lançeur d'alerte à l'époque s'appelait Daniel Ellsberg. Il fut aidé par un linguiste, un certain Noam Chomsky. C'est lui que nous retrouvons aujourd'hui pour une heure inédite enregistrée en octobre 2013.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?EEEfMQ">Permalink</a>)Prêt à jeter ou l'obsolescence programmée - Arte - 2011 - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?OeJm4w"""Prêt à jeter raconte la fascinante histoire de l'obsolescence programmée, un concept largement appliqué par l'industrie et qui consiste à raccourcir délibérément la vie d'un produit pour en augmenter la consommation."""<br />
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"""L'Obsolescence Programmée est une idée qui ne date pas d'hier. En 1928, une revue de publicité influente en envisageait le besoin sans détournements : "Un article qui ne s'abîme pas est une tragédie pour les affaires". C'est une tragédie également pour la société moderne de la croissance, laquelle se base sur un cycle de plus en plus accéléré de production, de consommation et de gaspillage."""<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?OeJm4w">Permalink</a>)Juppé, forcément… - Réalisation Pierre Carles - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?bFG66wJuppé, forcément est un film documentaire de Pierre Carles. L'auteur y questionne les évidences et met à nu ce qu'il présente comme de faux débats sur les élections de 1995 dans la commune de Bordeaux. Il montre comment, selon lui, les journalistes régionaux font preuve de fidélité au candidat Alain Juppé alors ministre des Affaires étrangères. Il cherche à montrer l'injustice d'un processus électoral vicié par une propagande qui semble des plus habituelles. Suite à ce reportage, Pierre Carles serait devenu persona non grata auprès des rédactions du journal Sud Ouest et de France 3 Aquitaine.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?bFG66w">Permalink</a>)▶ Pas vu pas pris de Pierre Carles (video en entier) - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?8yN42QPas vu pas pris est un film français (1998), premier volet de la trilogie de Pierre Carles consacré aux médias et plus particulièrement au fonctionnement interne de Canal+ et des grands médias nationaux. Le documentaire montre les relations qu'ont les vedettes du journalisme avec les hommes politiques, et dénonce la "fausse impertinence de certains journalistes".<br />
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Pas vu pas pris n'a jamais été diffusé à la télévision; il relate l'histoire d'un autre documentaire Pas vu à la télé, lui-même commandé, puis censuré par Canal+. En mars 1998, Charlie Hebdo et Gébé fondent l'association « Pour Voir Pas Vu » pour lever les fonds nécessaires à la projection du film Pas vu pas pris au cinéma. Ils réussiront à récolter 600 000 FF. La première projection aura lieu le 18 novembre 1998.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?8yN42Q">Permalink</a>)OUTFOXED Rupert Murdoch's War on Journalism Interviews Video - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?jKivGgCe film analyse de manière détaillée et documentée comment l'empire médiatique du magnat australo-américain Rupert Murdoch, mené par la chaîne d'information continue Fox News, et à travers ses programmes et ses journaux télévisés, met en place un système visant à manipuler l'opinion des trois quarts de la planète.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?jKivGg">Permalink</a>)Orwell se retourne dans sa tombe - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?-d18fg"Orwell se retourne dans sa tombe" de Robert Kane Pappas, se veut la critique définitive du quatrième pouvoir, considéré autrefois comme le bastion de la démocratie américaine.<br />
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En se demandant si l’Amérique est entrée dans un monde orwellien au double langage où les mensonges peuvent passer pour la vérité, Pappas explore ce dont les médias n’aiment pas parler, c’est-à-dire eux-mêmes.<br />
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Retraçant méticuleusement le processus par lequel les médias déforment et censurent les événements d’actualité, Pappas présente de fascinantes et éloquentes interventions de professionnels des médias. Parmi les intervenants, l’on trouve Charles Lewis, directeur du Centre pour l’Intégrité Publique; Vincent Bugliosi, ancien procureur de Los Angeles; le réalisateur et auteur Michael Moore; le Républicain Bernie Sanders; Danny Schecter, auteur et ancien producteur pour ABC et CNN; et Tony Benn, ancien membre du Parlement britannique.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?-d18fg">Permalink</a>)▶ Orange Amère - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?wxXNBA"Bonjour, bienvenue à l’accueil Ressources humaines salariés. Pour continuer, appuyez sur la touche étoile de votre téléphone" : le documentaire "Orange amère" dresse un constat plutôt sombre des efforts de France Télécom pour remettre l’humain au coeur de l’entreprise.<br />
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Patricia Bodet et Bernard Debord, réalisateurs du film qui sera diffusé sur France 5 le 8 février, ont ausculté le groupe pendant plus d’un an, après le vingt-huitième suicide d’un salarié en vingt mois, celui de Jean-Paul Rouanet, 51 ans, le 28 septembre 2009.<br />
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Leur constat est mitigé. Annoncé comme prioritaire après les suicides de salariés (plus de 50 à ce jour, selon l’Observatoire du stress et des mobilités forcées à France Télécom, créé par des syndicats), le chantier des ressources humaines de proximité peine à se mettre en place.<br />
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Devant les caméras, une employée qui tente de contacter le centre d’appel chargé des ressources humaines entend : "Tous nos assistants sont déjà en ligne : nous vous invitons à nous contacter ultérieurement".<br />
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Une scène qui témoigne de la difficulté à modifier la culture d’entreprise de ce fleuron du service public, forcé de subir une importante restructuration après sa privatisation en 1997.<br />
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Même si "Orange amère" est un documentaire plutôt à charge, le film met en lumière les espoirs suscités par l’arrivée en mars 2010 du nouveau directeur général Stéphane Richard, présenté comme "l’homme de la rédemption".<br />
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Le film, qui s’appuie sur les témoignages des employés, du cabinet Secafi mandaté pour enquêter sur le suicide de Jean-Paul Rouanet et de la direction, illustre également un effort de transparence rare de la part du groupe.<br />
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Les réalisateurs retracent l’histoire de France Télécom, en particulier après l’arrivée en 2005 du PDG Didier Lombard.<br />
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L’entreprise privée, mais composée essentiellement de fonctionnaires, a alors brutalement découvert la mobilité contrainte, rebaptisée en interne le "Time to move" (alias "Tire-toi maintenant", selon certains employés).<br />
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Pour Patrick Ackermann, de Sud, "la machine à exclure, à pousser à la démission, à la mutation, à la mobilité, etc. a fonctionné", provoquant 22.000 "départs contraints" entre 2006 et 2008.<br />
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Depuis, et même si les 100.000 salariés en France ne semblent pas douter de la bonne volonté du nouveau directeur, la défiance est toujours de mise.<br />
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Tout en affichant son optimisme, Stéphane Richard le dit lui-même : "ce qui manque le plus peut-être aujourd’hui chez France Télécom, c’est la confiance".<br />
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Et malgré des initiatives multiples pour déstresser les salariés : cours de Qi Gong, dégustations de crêpes, ou tombolas, certains employés évoquent toujours "la boule au ventre" à l’annonce des objectifs de vente en début de mois.<br />
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Tout en professant son enthousiasme pour les barbecues, un manager, Serge Chabannes, n’oublie pas les objectifs : "Le haut débit, c’est la catastrophe. J’ai honte, j’ai honte pour vous", assène-t-il à son équipe sous l’oeil des caméras.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?wxXNBA">Permalink</a>)Olivier Berruyer (1/2) : Pacte de stabilité, TAFTA - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?mPH5vgLe Cercle des Volontaires a rencontré Olivier Berruyer, ou l'homme qui disait des vérités... à la télévision ! Il s'est en effet livré le 17 mars dernier, à un véritable "TV-jacking" en direct sur le plateau de BFM Business en dénonçant, photos à l'appui, l'arrivée de néo-nazis au sommet de l'état ukrainien. Pourquoi ces révélations ? Comment expliquer un comportement aussi déviant ? Comment peut-on en arriver à ce degré d'inconscience ? Comment est-il possible d'ignorer à ce point les codes télévisuels actuels ?! Ne sait-il pas que l'honnêteté intellectuelle est une valeur définitivement bannie du petit écran depuis que Taddeï ne choisit plus ses invités et qu'Ardisson en est réduit à servir une soupe tiède à des agents du politiquement correct ?!! C'est en partie pour dénouer cette terrible énigme que nous sommes partis enquêter dans l'ouest parisien et soumettre à la question l'individu sus-nommé.<br />
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Revenant dans un premier temps sur les questions économiques du moment (pacte de stabilité et TAFTA en partie 1), il nous expose ensuite les raisons qui l'on poussé à cette intervention audacieuse, puis nous fait part de ses réflexions sur la situation ukrainienne. Bien que n'étant pas géopoliticien, il se livre à une analyse sérieuse au cours de laquelle il montre comment une guerre économique est en train de dégénérer en conflit militaire (partie 2).<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?mPH5vg">Permalink</a>)Oil, smoke & mirrors - sous-titré français - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?vBfvrg« Oil, smoke & mirrors (Du pétrole et des écrans de fumées) donne une sérieuse analyse de la perception de notre monde présent et à venir, à la lumière des évènements imminents, non signalés et volontairement oubliés, des contraintes énergétiques mondiales. Au travers d’une série d’interviews extraordinairement informées et éloquentes, ce film montre que les évènements du 11 septembre et les poursuites de la soi-disant "guerre au terrorisme", peuvent être mieux compris dans le contexte plus large de l’imminence d’une crise pétrolière. "Oil smoke & mirrors" dépeint la culture de notre politique mondiale qui tragiquement, et pour quelque raison que ce soit, se dissocie complètement de ses valeurs fondatrices. Si les opinions présentées dans ce film peuvent d’emblée paraître peu rassurantes, il est une certitude que les défis évoqués ne peuvent être relevés et surpassés, seulement, et seulement si nous trouvons le courage de leur faire face. »<br />
<br />
Les intervenants :<br />
<br />
Richard Heinberg : Auteur de "The Oil Depletion Protocol"<br />
<br />
Julian Darley : Fondateur de l’institut "Post Carbon"<br />
<br />
Michael Meacher : Parlementaire, et ancien ministre britannique de l’environnement<br />
<br />
Colin Campbel : Géologue et membre de l’Association for the Study of Peak Oil and Gas<br />
<br />
Chris Sanders : Economiste politique, membre de Sanders Research Associates<br />
<br />
Paul Roberts : Journaliste, Auteur de "The End of Oil"<br />
<br />
Nafeez Mossaddeq Ahmed : Analyste politique, auteur de "La guerre contre la vérité"<br />
<br />
Andreas Von Bülow : Ancien ministre allemand des sciences et technologies<br />
<br />
Philip J. Berg : Procureur, membre des Scholars for 9/11 Truth<br />
<br />
Christopher Bollyn : Journaliste de chez American Free Press<br />
<br />
David Shayler : Ancien membre du MI5, Officier du contre terrorisme<br />
<br />
Webster Tarpley : Historien, auteur de "La terreur fabriquée, Made in USA<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?vBfvrg">Permalink</a>)MOUSELAND - SOUS TITRES FRANCAIS - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?DCnMnwDiscours de Tommy Douglas en 1944 au Canada.<br />
Tommy DOUGLAS - Thomas Clement (Tommy) Douglas, (né le 20 octobre 1904 à Falkirk (Écosse) et décédé le 24 février 1986 au Canada), est un ancien premier ministre de la Saskatchewan (1944-1961). Il a dirigé le premier gouvernement socialiste en Amérique du Nord, et il était le premier chef fédéral du Nouveau Parti démocratique.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?DCnMnw">Permalink</a>)▶ LQR - La propagande du quotidien - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?6TzIOgEntretien (2006) avec Eric Hazan, éditeur et écrivain, autour de son livre « LQR la propagande du quotidien » publié aux éditions Raisons d’agir.<br />
« LQR » comme « Lingua Quintae Respublicae », cette langue qui chaque jour efface les résistances, les différences, les opinions et travaille à la domestication des esprits.<br />
<br />
<a href="http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=852" rel="nofollow">http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=852</a><br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?6TzIOg">Permalink</a>)LOOSE CHANGE FINAL CUT en Français - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?zLjCYwLoose Change est un documentaire controversé écrit et réalisé par Dylan Avery et produit par Korey Rowe et Jason Bermas[1] dont la première version est sortie en 2005 et la seconde en 2006. Le film défend les théories du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001. Il avance que les attaques n'étaient pas le résultat d'attentats fomentés par des terroristes islamistes, mais d'une série d'événements préparés par le gouvernement américain.<br />
<br />
Il a été diffusé par la compagnie des créateurs Louder than Words (en français, « Plus fort que les Mots ») et a connu un certain succès auprès du public après avoir été diffusé par une filiale de la Fox, WICZ-TV [2]. Il représente une des vidéos les plus vues sur internet avec 10 millions de spectateurs[3].<br />
<br />
Une version intitulée final cut (touche finale) devait sortir « le weekend précedant le 11 septembre 2007 ». Cette nouvelle version doit être projetée dans différentes grandes villes aux États-Unis et être disponible en vidéo à la demande[4]. Cela n'a pas été le cas, cette version n'étant toujours pas considérée par ses auteurs comme achevée. Elle est finalement sortie le 11 novembre 2007[5].<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?zLjCYw">Permalink</a>)Nicolas SARKOZY - Des lobbies au coeur de la république [ documentaire ] - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?Upn9UgDes cabinets privés sont au au service de grands groupes industriels, financiers ou agricoles pour intervenir auprès de politiques. Des groupes de pressions qui parviennent à faire modifier des lois… En France, on dénombre une vingtaine de cabinets de lobbyistes et une centaine de consultants. Des agences installées stratégiquement aux abords de l’Assemblée nationale, des ministères et qui ne cessent de se multiplier.<br />
<br />
Lundi Investigation a infiltré le cœur du système pour comprendre comment ces lobbyistes arrivaient, dans la discrétion, à toucher les plus hautes instances du pouvoir et quels étaient leurs leviers de persuasion.<br />
<br />
Toutefois, contrairement à nos voisins européens, cette profession n’est pas encore reconnue en France. La présence de lobbyistes est même interdite au Palais Bourbon. Et pourtant, on les croise dans les couloirs de l’Assemblée, dans les bureaux des députés, Salle des « quatre colonnes ».<br />
<br />
Enquête sur le pouvoir invisible des groupes de pression.<br />
<br />
Source : reformulation et mélange de textes provenant de divers sites sur Internet<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?Upn9Ug">Permalink</a>)Les Lip, l'imagination au pouvoir (2007) (1/3) — смотреть онлайн видео, бесплатно!https://docusdunet.net/shaarli/?W9XoYQLe film donne à voir et à entendre les hommes et les femmes qui ont mené la grève ouvrière la plus emblématique de l'après 68, celle des usines LIP à Besançon.<br />
Un mouvement de lutte incroyable, qui a duré plusieurs années, mobilisé des foules entières en France et en Europe, multiplié les actions illégales sans céder à la tentation de la violence, porté la démocratie directe et l'imagination à incandescence.<br />
Des récits entrecroisés, des portraits, une histoire collective, pour essayer de comprendre pourquoi cette grève porta l'espoir et les rêves de toute une génération.<br />
C'est possible, les Lip l'ont fait.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?W9XoYQ">Permalink</a>)Les Archives Oubliees - La face cachee de l Amerique - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?cTqcWADurée : 46 Minutes<br />
Daniel Hopsicker et Jay Miracle<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?cTqcWA">Permalink</a>)▶ Le mythe de la bonne guerre - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?Bvrp3ALa Deuxième Guerre Mondiale, une croisade américaine pour la défense de la liberté et de la démocratie ? Les vainqueurs écrivant l'histoire, c'est cette version qui est enseignée depuis 1945 des deux côtés de l'Atlantique. Alors que l'on se prépare à célébrer le 60ème anniversaire de la capitulation, Jacques Pauwels, preuves à l'appui, dévoile le mythe de la «libération». Aux Etats-Unis, Hitler a très longtemps été considéré comme un excellent partenaire en affaires mais dans une guerre qui ne se déroule pas comme prévu, les alliances finissent alors par se former contre les «mauvais ennemis», avec les «mauvais alliés»... Le débarquement de Normandie qui ne survient que très tard, le 6 juin 1944, fera malgré tout de ce second conflit mondial une formidable aubaine financière pour les Etats-Unis. En libérant une partie de l'Europe des fascistes pour la «dominer» économiquement, toutes les conditions sont également réunies dès 1945 pour entamer une très longue Guerre froide...<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?Bvrp3A">Permalink</a>)Le Bal des Maitres du Monde - Nemesis TVhttps://docusdunet.net/shaarli/?09OucgLe reportage tant promis qui couvre la réunion des milliardaires mondialistes de la planète à Davos en 2005. Vous verrez et comprendrez les enjeux de leur Plan: la privatisation des biens et services des nations de la planète et de leur gouvernement. Leur solution au chômage ? La compétitivité ! Travailler plus pour un salaire moins élevés ! Entretuons-nous les-uns les-autres pour avoir un emploi et survivre. Les diktats du libre marché veulent votre bien, ou plutôt vos biens ils l'auront si vous ne faites rien.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?09Oucg">Permalink</a>)▶ La stratégie du choc - Naomi Klein - 2007 - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?7g4SwApar Naomi Klein<br />
<br />
Après une préface où elle expose les différents points de son argumentation, le premier chapitre porte sur la torture et plus particulièrement sur les expériences de lavage de cerveau effectuées par Donald Ewen Cameron, financées par la CIA. Ces recherches avaient pour objectif de détruire la personnalité du sujet, en lui administrant des chocs divers (substances chimiques, électrochocs), dans le but d'obtenir une « page blanche » sur laquelle on pourrait écrire une nouvelle personnalité.<br />
<br />
S'appuyant sur d'importantes recherches documentaires[1], Naomi Klein soutient que de la même manière, des désastres (catastrophes naturelles, changements de régimes), qui conduisent à des chocs psychologiques, permettent aux chantres du capitalisme d'appliquer la doctrine de l'école de Chicago dont Milton Friedman est l'un des représentants les plus connus.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?7g4SwA">Permalink</a>)Pierre Hillard - La marche irrésistible du nouvel ordre mondial - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?JtqVBgDes faits historiques qui parlent de notre futur.<br />
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Interview de Pierre hillard qui présente son nouveau livre mais qui en dit toujours long dans ses allocutions.<br />
<br />
il existe beaucoup d'interviews de ce prof d'unif historien , politologue, celle-ci est la dernière en date.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?JtqVBg">Permalink</a>)Les dettes publiques - Louis Even - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?xuUnLQ“L’Île des naufragés” fut l’une des premières histoires écrites par Louis Even, et demeure l’un des plus populaires pour faire comprendre la création de l’argent :<br />
<br />
L’Île des naufragés”, par Louis Even, publié sur le site du journal “Vers Demain”.<br />
<br />
1- Sauvés du naufrage<br />
<br />
Une explosion a détruit leur bateau. Chacun s’agrippait aux premières pièces flottantes qui lui tombaient sous la main. Cinq ont fini par se trouver réunis sur cette épave, que les flots emportent à leur gré. Des autres compagnons de naufrage, aucune nouvelle. Depuis des heures, de longues heures, ils scrutent l’horizon : quelque navire en voyage les apercevrait-il ? Leur radeau de fortune échouerait-il sur quelque rivage hospitalier ? Tout à coup, un cri a retenti : Terre ! Terre là-bas, voyez ! Justement dans la direction où nous poussent les vagues ! Et à mesure que se dessine, en effet, la ligne d’un rivage, les figures s’épanouissent. Ils sont cinq : François, le grand et vigoureux charpentier qui a le premier lancé le cri : Terre ! Paul, cultivateur ; c’est lui que vous voyez en avant, à gauche, à genoux, une main à terre, l’autre accrochée au piquet de l’épave ; Jacques, spécialisé dans l’élevage des animaux : c’est l’homme au pantalon rayé qui, les genoux à terre, regarde dans la direction indiquée ; Henri, l’agronome horticulteur, un peu corpulent, assis sur une valise échappée au naufrage ; Thomas, le prospecteur minéralogiste, c’est le gaillard qui se tient debout en arrière, avec une main sur l’épaule du charpentier.<br />
<br />
<br />
<br />
2- Une île providentielle<br />
<br />
Remettre les pieds sur une terre ferme, c’est pour nos hommes un retour à la vie. Une fois séchés, réchauffés, leur premier empressement est de faire connaissance avec cette île où ils sont jetés loin de la civilisation. Cette île qu’ils baptisent L’Île des Naufragés. Une rapide tournée comble leurs espoirs. L’île n’est pas un désert aride. Ils sont bien les seuls hommes à l’habiter actuellement. Mais d’autres ont dû y vivre avant eux, s’il faut en juger par les restes de troupeaux demi-sauvages qu’ils ont rencontrés ici et là. Jacques, l’éleveur, affirme qu’il pourra les améliorer et en tirer un bon rendement. Quant au sol de l’île, Paul le trouve en grande partie fort propice à la culture. Henri y a découvert des arbres fruitiers, dont il espère pouvoir tirer grand profit. François y a remarqué surtout les belles étendues forestières, riches en bois de toutes sortes : ce sera un jeu d’abattre des arbres et de construire des abris pour la petite colonie. Quant à Thomas, le prospecteur, ce qui l’a intéressé, c’est la partie la plus rocheuse de l’île. Il y a noté plusieurs signes indiquant un sous-sol richement minéralisé. Malgré l’absence d’outils perfectionnés, Thomas se croit assez d’initiative et de débrouillardise pour transformer le minerai en métaux utiles. Chacun va donc pouvoir se livrer à ses occupations favorites pour le bien de tous. Tous sont unanimes à louer la Providence du dénouement relativement heureux d’une grande tragédie.<br />
<br />
3- Les véritables richesses<br />
<br />
Et voilà nos hommes à l’ouvrage. Les maisons et des meubles sortent du travail du charpentier. Les premiers temps, on s’est contenté de nourriture primitive. Mais bientôt les champs produisent et le laboureur a des récoltes. À mesure que les saisons succèdent aux saisons, le patrimoine de l’île s’enrichit. Il s’enrichit, non pas d’or ou de papier gravé, mais des véritables richesses : des choses qui nourrissent, qui habillent, qui logent, qui répondent à des besoins. La vie n’est pas toujours aussi douce qu’ils souhaiteraient. Il leur manque bien des choses auxquelles ils étaient habitués dans la civilisation. Mais leur sort pourrait être beaucoup plus triste. D’ailleurs, ils ont déjà connu des temps de crise au Canada. Ils se rappellent les privations subies, alors que des magasins étaient trop pleins à dix pas de leur porte. Au moins, dans l’Île des Naufragés, personne ne les condamne à voir pourrir sous leurs yeux des choses dont ils ont besoin. Puis les taxes sont inconnues. Les ventes par le shérif ne sont pas à craindre. Si le travail est dur parfois, au moins on a le droit de jouir des fruits du travail. Somme toute, on exploite l’île en bénissant Dieu, espérant qu’un jour on pourra retrouver les parents et les amis, avec deux grands biens conservés : la vie et la santé.<br />
<br />
4- Un inconvénient majeur<br />
<br />
Nos hommes se réunissent souvent pour causer de leurs affaires. Dans le système économique très simplifié qu’ils pratiquent, une chose les taquine de plus en plus : ils n’ont aucune espèce de monnaie. Le troc, l’échange direct de produits contre produits, a ses inconvénients. Les produits à échanger ne sont pas toujours en face l’un de l’autre en même temps. Ainsi, du bois livré au cultivateur en hiver ne pourra être remboursé en légumes que dans six mois. Parfois aussi, c’est un gros article livré d’un coup par un des hommes, et il voudrait en retour différentes petites choses produites par plusieurs des autres hommes, à des époques différentes. Tout cela complique les affaires. S’il y avait de l’argent dans la circulation, chacun vendrait ses produits aux autres pour de l’argent. Avec l’argent reçu, il achèterait des autres les choses qu’il veut, quand il les veut et qu’elles sont là. Tous s’entendent pour reconnaître la commodité que serait un système d’argent. Mais aucun d’eux ne sait comment en établir un. Ils ont appris à produire la vraie richesse, les choses. Mais ils ne savent pas faire les signes, l’argent. Ils ignorent comment l’argent commence, et comment le faire commencer quand il n’y en a pas et qu’on décide ensemble d’en avoir… Bien des hommes instruits seraient sans doute aussi embarrassés ; tous nos gouvernements l’ont bien été pendant dix années avant la guerre. Seul, l’argent manquait au pays, et le gouvernement restait paralysé devant ce problème.<br />
<br />
5- Arrivée d’un réfugié<br />
<br />
Un soir que nos hommes, assis sur le rivage, ressassent ce problème pour la centième fois, ils voient soudain approcher une chaloupe avironnée par un seul homme. On s’empresse d’aider le nouveau naufragé. On lui offre les premiers soins et on cause. On apprend qu’il a lui aussi échappé à un naufrage, dont il est le seul survivant. Son nom : Martin Golden. Heureux d’avoir un compagnon de plus, nos cinq hommes l’accueillent avec chaleur et lui font visiter la colonie.<br />
- « Quoique perdus loin du reste du monde, lui disent-ils, nous ne sommes pas trop à plaindre. La terre rend bien ; la forêt aussi. Une seule chose nous manque : nous n’avons pas de monnaie pour faciliter les échanges de nos produits. »<br />
- « Bénissez le hasard qui m’amène ici ! Répond Martin. L’argent n’a pas de mystère pour moi. Je suis un banquier, et je puis vous installer en peu de temps un système monétaire qui vous donnera satisfaction. »<br />
Un banquier ! Un banquier ! Un ange venu tout droit du ciel n’aurait pas inspiré plus de révérence. N’est-on pas habitué, en pays civilisé, à s’incliner devant les banquiers, qui contrôlent les pulsations de la finance ?<br />
<br />
6- Le dieu de la civilisation<br />
<br />
- « Monsieur Martin, puisque vous êtes banquier, vous ne travaillerez pas dans l’île. Vous allez seulement vous occuper de notre argent. »<br />
- « Je m’en acquitterai avec la satisfaction, comme tout banquier, de forger la prospérité commune. »<br />
- « Monsieur Martin, on vous bâtira une demeure digne de vous. En attendant, peut-on vous installer dans l’édifice qui sert à nos réunions publiques ? »<br />
- « Très bien, mes amis. Mais commençons par décharger les effets de la chaloupe que j’ai pu sauver dans le naufrage : une petite presse, du papier et accessoires, et surtout un petit baril que vous traiterez avec grand soin. »<br />
On décharge le tout. Le petit baril intrigue la curiosité de nos braves gens.<br />
- « Ce baril, déclare Martin, c’est un trésor sans pareil. Il est plein d’or ! »<br />
Plein d’or ! Cinq âmes faillirent s’échapper de cinq corps. Le dieu de la civilisation entré dans l’Ile des Naufragés. Le dieu jaune, toujours caché, mais puissant, terrible, dont la présence, l’absence ou les moindres caprices peuvent décider de la vie de 100 nations !<br />
- « De l’or ! Monsieur Martin, vrai grand banquier ! Recevez nos hommages et nos serments de fidélité. »<br />
- « De l’or pour tout un continent, mes amis. Mais ce n’est pas de l’or qui va circuler. Il faut cacher l’or : l’or est l’âme de tout argent sain. L’âme doit rester invisible. Je vous expliquerai tout cela en vous passant de l’argent. »<br />
<br />
7- Un enterrement sans témoin<br />
<br />
Avant de se séparer pour la nuit, Martin leur pose une dernière question :<br />
- « Combien vous faudrait-il d’argent dans l’île pour commencer, pour que les échanges marchent bien ? » On se regarde. On consulte humblement Martin lui-même. Avec les suggestions du bienveillant banquier, on convient que 200 $ pour chacun paraissent suffisants pour commencer. Rendez-vous fixé pour le lendemain soir. Les hommes se retirent, échangent entre eux des réflexions émues, se couchent tard, ne s’endorment bien que vers le matin, après avoir longtemps rêvé d’or les yeux ouverts. Martin, lui, ne perd pas de temps. Il oublie sa fatigue pour ne penser qu’à son avenir de banquier. À la faveur du petit jour, il creuse un trou, y roule son baril, le couvre de terre, le dissimule sous des touffes d’herbe soigneusement placées, y transplante même un petit arbuste pour cacher toute trace. Puis, il met en œuvre sa petite presse, pour imprimer mille billets d’un dollar. En voyant les billets sortir, tout neufs, de sa presse, il songe en lui-même :<br />
- « Comme ils sont faciles à faire, ces billets ! Ils tirent leur valeur des produits qu’ils vont servir à acheter. Sans produits, les billets ne vaudraient rien. Mes cinq naïfs de clients ne pensent pas à cela. Ils croient que c’est l’or qui garantit les piastres. Je les tiens par leur ignorance ! »<br />
Le soir venu, les cinq arrivent en courant près de Martin.<br />
<br />
8- À qui l’argent frais fait ?<br />
<br />
Cinq piles de billets étaient là, sur la table.<br />
- « Avant de vous distribuer cet argent, dit le banquier, il faut s’entendre. L’argent est basé sur l’or. L’or, placé dans la voûte de ma banque, est à moi. Donc, l’argent est à moi… Oh ! Ne soyez pas tristes. Je vais vous prêter cet argent, et vous l’emploierez à votre gré. En attendant, je ne vous charge que l’intérêt. Vu que l’argent est rare dans l’île, puisqu’il n’y en a pas du tout, je crois être raisonnable en demandant un petit intérêt de 8 pour cent seulement. »<br />
- « En effet, Monsieur Martin, vous êtes très généreux. »<br />
- « Un dernier point, mes amis. Les affaires sont les affaires, même entre grands amis. Avant de toucher son argent, chacun de vous va signer ce document : c’est l’engagement par chacun de rembourser capital et intérêts, sous peine de confiscation par moi de ses propriétés. Oh ! Une simple garantie. Je ne tiens pas du tout à jamais avoir vos propriétés, je me contente d’argent. Je suis sûr que vous garderez vos biens et que vous me rendrez l’argent. »<br />
- « C’est plein de bons sens, Monsieur Martin. Nous allons redoubler d’ardeur au travail et tout rembourser. »<br />
- « C’est cela. Et revenez me voir chaque fois que vous avez des problèmes. Le banquier est le meilleur ami de tout le monde… Maintenant, voici à chacun ses deux cents dollars. » Et nos cinq hommes s’en vont ravis, les piastres plein les mains et plein la tête.<br />
<br />
9- Un problème d’arithmétique<br />
<br />
L’argent de Martin a circulé dans l’île. Les échanges se sont multipliés en se simplifiant. Tout le monde se réjouit et salue Martin avec respect et gratitude. Cependant, le prospecteur, est inquiet. Ses produits sont encore sous terre. Il n’a plus que quelques piastres en poche. Comment rembourser le banquier à l’échéance qui vient ? Après s’être longtemps creusé la tête devant son problème individuel, Thomas l’aborde socialement :<br />
« Considérant la population entière de l’île, songe-t-il, sommes-nous capables de tenir nos engagements ? Martin a fait une somme totale de 1000 $. Il nous demande au total 1080 $. Quand même nous prendrions ensemble tout l’argent de l’île pour le lui porter, cela ferait 1000 pas 1080. Personne n’a fait les 80 $ de plus. Nous faisons des choses, pas des piastres. Martin pourra donc saisir toute l’île, parce que tous ensemble, nous ne pouvons rembourser capital et intérêts. Si ceux qui sont capables remboursent pour eux-mêmes sans se soucier des autres, quelques-uns vont tomber tout de suite, quelques autres vont survivre. Mais le tour des autres viendra et le banquier saisira tout. Il vaut mieux s’unir tout de suite et régler cette affaire socialement. »<br />
Thomas n’a pas de peine à convaincre les autres que Martin les a dupés. On s’entend pour un rendez-vous général chez le banquier.<br />
<br />
10- Bienveillance du banquier<br />
<br />
Martin devine leur état d’âme, mais fait bon visage. L’impulsif François présente le cas :<br />
- « Comment pouvons-nous vous apporter 1080 $ quand il n’y a que 1000 $ dans toute l’île ? »<br />
- « C’est l’intérêt, mes bons amis. Est-ce que votre production n’a pas augmenté ? »<br />
- « Oui, mais l’argent, lui, n’a pas augmenté. Or, c’est justement de l’argent que vous réclamez, et non pas des produits. Vous seul pouvez faire de l’argent. Or vous ne faites que 1000 $ et vous demandez 1080 $. C’est impossible ! »<br />
- « Attendez, mes amis. Les banquiers s’adaptent toujours aux conditions, pour le plus grand bien du public… Je ne vais vous demander que l’intérêt. Rien que 80$. Vous continuerez de garder le capital. »<br />
- « Vous nous remettez notre dette ? »<br />
- « Non pas. Je le regrette, mais un banquier ne remet jamais une dette. Vous me devrez encore tout l’argent prêté. Mais vous ne me remettrez chaque année que l’intérêt, je ne vous presserai pas pour le remboursement du capital. Quelques-uns parmi vous peuvent devenir incapables de payer même leur intérêt, parce que l’argent va de l’un à l’autre. Mais organisez-vous en nation, et convenez d’un système de collection. On appelle cela taxer. Vous taxerez davantage ceux qui auront plus d’argent, les autres moins. Pourvu que vous m’apportiez collectivement le total de l’intérêt, je serai satisfait et votre nation se portera bien. »<br />
Nos hommes se retirent, mi-calmés, mi-pensifs.<br />
<br />
11- L’extase de Martin Golden<br />
<br />
Martin est seul. Il se recueille. Il conclut :<br />
« Mon affaire est bonne. Bons travailleurs, ces hommes, mais ignorants. Leur ignorance et leur crédulité font ma force. Ils voulaient de l’argent, je leur ai passé des chaînes. Ils m’ont couvert de fleurs pendant que je les roulais. Oh ! Grand banquier, je sens ton génie de banquier s’emparer de mon être. Tu l’as bien dit, illustre maître : "Qu’on m’accorde le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois". Je suis le maître de l’Ile des Naufragés, parce que je contrôle son système d’argent. Je pourrais contrôler un univers. Ce que je fais ici, moi, Martin Golden, je puis le faire dans le monde entier. Que je sorte un jour de cet îlot : je sais comment gouverner le monde sans tenir de sceptre. »<br />
Et toute la structure du système bancaire se dresse dans l’esprit ravi de Martin.<br />
<br />
12- Crise de la vie chère<br />
<br />
Cependant, la situation empire dans l’Île des Naufragés. La productivité a beau augmenter, les échanges ralentissent. Martin pompe régulièrement ses intérêts. Il faut songer à mettre de l’argent de côté pour lui. L’argent colle, il circule mal. Ceux qui paient le plus de taxes crient contre les autres et haussent leurs prix pour trouver une compensation. Les plus pauvres, qui ne paient pas de taxes, crient contre la cherté de la vie et achètent moins. Le moral baisse, la joie de vivre s’en va. On n’a plus de cœur à l’ouvrage. À quoi bon ? Les produits se vendent mal ; et quand ils se vendent, il faut donner des taxes pour Martin. On se prive. C’est la crise. Et chacun accuse son voisin de manquer de vertu et d’être la cause de la vie chère. Un jour, Henri, réfléchissant au milieu de ses vergers, conclut que le « progrès » apporté par le système monétaire du banquier a tout gâté dans l’île. Assurément, les cinq hommes ont leurs défauts ; mais le système de Martin nourrit tout ce qu’il y a de plus mauvais dans la nature humaine. Henri décide de convaincre et de rallier ses compagnons. Il commence par Jacques. Cela est vite fait :<br />
« Eh ! Dit Jacques, je ne suis pas savant, moi ; mais il y a longtemps que je le sens : le système de ce banquier-là est plus pourri que le fumier de mon étable du printemps dernier ! »<br />
Tous sont convaincus l’un après l’autre, et une nouvelle entrevue avec Martin est décidée.<br />
<br />
13- Chez le forgeur de chaînes<br />
<br />
Ce fut une tempête chez le banquier :<br />
- « L’argent est rare dans l’île, Monsieur, parce que vous nous l’ôtez. On vous paie, on vous paie, et on vous doit encore autant qu’au commencement. On travaille, on fait de plus belles terres, et nous voilà plus mal pris qu’avant votre arrivée. Dette ! Dette ! Dette par-dessus la tête ! »<br />
- « Allons, mes amis, raisonnons un peu. Si vos terres sont plus belles, c’est grâce à moi. Un bon système bancaire est le plus bel actif d’un pays. Mais pour en profiter, il faut garder avant tout la confiance dans le banquier. Venez à moi comme à un père… Vous voulez d’autre argent ? Très bien. Mon baril d’or vaut bien des fois mille dollars… Tenez, je vais hypothéquer vos nouvelles propriétés et vous prêter un autre mille dollars tout de suite. »<br />
- « Deux fois plus de dette ? Deux fois plus d’intérêt à payer tous les ans, sans jamais finir ? »<br />
- « Oui, mais je vous en prêterai encore, tant que vous augmenterez votre richesse foncière ; et vous ne me rendrez jamais que l’intérêt. Vous empilerez les emprunts ; vous appellerez cela dette consolidée. Dette qui pourra grossir d’année en année. Mais votre revenu aussi. Grâce à mes prêts, vous développerez votre pays. »<br />
- « Alors, plus notre travail fera l’île produire, plus notre dette totale augmentera ? »<br />
- « Comme dans tous les pays civilisés. La dette publique est un baromètre de la prospérité. »<br />
<br />
14- Le loup mange les agneaux<br />
<br />
- « C’est cela que vous appelez monnaie saine, Monsieur Martin ? Une dette nationale devenue nécessaire et impayable, ce n’est pas sain, c’est malsain. »<br />
- « Messieurs, toute monnaie saine doit être basée sur l’or et sortir de la banque à l’état de dette. La dette nationale est une bonne chose : elle place ; les gouvernements sous la sagesse incarnée dans les banquiers. À titre de banquier, je suis un flambeau de la civilisation dans votre île. »<br />
- « Monsieur Martin, nous ne sommes que des ignorants, mais nous ne voulons point de cette civilisation-là ici. Nous n’emprunterons plus un seul sou de vous. Monnaie saine ou pas saine, nous ne voulons plus faire affaire avec vous. »<br />
- « Je regrette cette décision maladroite, Messieurs. Mais si vous rompez avec moi, j’ai vos signatures. Remboursez-moi immédiatement tout, capital et intérêts. »<br />
- « Mais c’est impossible, Monsieur. Quand même on vous donnerait tout l’argent de l’île, on ne serait pas quitte. »<br />
- « Je n’y puis rien. Avez-vous signé, oui ou non ? Oui ? Eh bien, en vertu de la sainteté des contrats, je saisis toutes vos propriétés gagées, tel que convenu entre nous, au temps où vous étiez si contents de m’avoir. Vous ne voulez pas servir de bon gré la puissance suprême de l’argent, vous la servirez de force. Vous continuerez à exploiter l’île, mais pour moi et à mes conditions. Allez. Je vous passerai mes ordres demain. »<br />
<br />
15- Le contrôle des médias<br />
<br />
Martin sait que celui qui contrôle le système d’argent d’une nation contrôle cette nation. Mais il sait aussi que, pour maintenir ce contrôle, il faut entretenir le peuple dans l’ignorance et l’amuser avec autre chose. Martin a remarqué que, sur les cinq insulaires, deux sont conservateurs et trois sont libéraux. Cela paraît dans les conversations des cinq, le soir, surtout depuis qu’ils sont devenus ses esclaves. On se chicane entre bleus et rouges. De temps en temps, Henri, moins partisan, suggère une force dans le peuple pour faire pression sur les gouvernants… Force dangereuse pour toute dictature. Martin va donc s’appliquer à envenimer leurs discordes politiques le plus possible. Il se sert de sa petite presse et fait paraître deux feuilles hebdomadaires : “Le Soleil”, pour les rouges ; “L’Étoile”, pour les bleus. “Le Soleil” dit en substance : Si vous n’êtes plus les maîtres chez vous, c’est à cause de ces arriérés de bleus, toujours collés aux gros intérêts. “L’Étoile” dit en substance : Votre dette nationale est l’œuvre des maudits rouges, toujours prêts aux aventures politiques. Et nos deux groupements politiques se chamaillent de plus belle, oubliant le véritable forgeur de chaînes, le contrôleur de l’argent, Martin.<br />
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16- Une épave précieuse<br />
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Un jour, Thomas, le prospecteur, découvre, échouée au fond d’une anse, au bout de l’île et voilée par de hautes herbes, une chaloupe de sauvetage, sans rame, sans autre trace de service qu’une caisse assez bien conservée. Il ouvre la caisse : outre du linge et quelques menus effets, son attention s’arrête sur un livre album en assez bon état, intitulé : “Première année de Vers Demain”. Curieux, notre homme s’assied et ouvre ce volume. Il lit. Il dévore. Il s’illumine :<br />
« Mais, s’écrie-t-il, voilà ce qu’on aurait dû savoir depuis longtemps. L’argent ne tire nullement sa valeur de l’or, mais des produits que l’argent achète. L’argent peut être une simple comptabilité, les crédits passant d’un compte à l’autre selon les achats et les ventes. Le total de l’argent en rapport avec le total de la production. À toute augmentation de production, doit correspondre une augmentation équivalente d’argent… Jamais d’intérêt à payer sur l’argent naissant… Le progrès représenté, non pas par une dette publique, mais par un dividende égal à chacun… Les prix, ajustés au pouvoir d’achat par un coefficient des prix. Le Crédit Social… »<br />
Thomas n’y tient plus. Il se lève et court, avec son livre, faire part de sa splendide découverte à ses quatre compagnons.<br />
<br />
17- L’argent, simple comptabilité<br />
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Et Thomas s’installe professeur :<br />
« Voici, dit-il, ce qu’on aurait pu faire, sans le banquier, sans or, sans signer aucune dette. J’ouvre un compte au nom de chacun de vous. À droite, les crédits, ce qui ajoute au compte ; à gauche, les débits, ce qui le diminue. On voulait chacun 200 $ pour commencer. D’un commun accord, décidons d’écrire 200 $ au crédit de chacun. Chacun a tout de suite 200 $. François achète des produits de Paul, pour 10 $. Je retranche 10 à François, il lui reste 190. J’ajoute 10 à Paul, il a maintenant 210. Jacques achète de Paul pour 8 $. Je retranche 8 à Jacques, il garde 192. Paul, lui, monte à 218. Paul achète du bois de François, pour 15 $. Je retranche 15 à Paul, il garde 203 ; j’ajoute 15 à François, il remonte à 205. Et ainsi de suite ; d’un compte à l’autre, tout comme des piastres en papier vont d’une poche à l’autre. Si l’un de nous a besoin d’argent pour augmenter sa production, on lui ouvre le crédit nécessaire, sans intérêt. Il rembourse le crédit une fois la production vendue. Même chose pour les travaux publics. On augmente aussi, périodiquement, les comptes de chacun d’une somme additionnelle, sans rien ôter à personne, en correspondance au progrès social. C’est le dividende national L’argent est ainsi un instrument de service. »<br />
<br />
18- Désespoir du banquier<br />
<br />
Tous ont compris. La petite nation est devenue créditiste. Le lendemain, le banquier Martin reçoit une lettre signée des cinq :<br />
« Monsieur, vous nous avez endettés et exploités sans aucune nécessité. Nous n’avons plus besoin de vous pour régir notre système d’argent. Nous aurons désormais tout l’argent qu’il nous faut, sans or, sans dette, sans voleur. Nous établissons immédiatement dans l’île des Naufragés le système du Crédit Social. Le dividende national remplacera la dette nationale. Si vous tenez à votre remboursement, nous pouvons vous remettre tout l’argent que vous avez fait pour nous, pas plus. Vous ne pouvez réclamer ce que vous n’avez pas fait. »<br />
Martin est au désespoir. C’est son empire qui s’écroule. Les cinq devenus créditistes, plus de mystère d’argent ou de crédit pour eux.<br />
« Que faire ? Leur demander pardon, devenir comme l’un d’eux ? Moi, banquier, faire cela ? Non. Je vais plutôt essayer de me passer d’eux et de vivre à l’écart. »<br />
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19- Supercherie mise à jour<br />
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Pour se protéger contre toute réclamation future possible, nos hommes ont décidé de faire signer au banquier un document attestant qu’il possède encore tout ce qu’il avait en venant dans l’île. D’où l’inventaire général : la chaloupe, la petite presse et… le fameux baril d’or. Il a fallu que Martin indique l’endroit, et l’on déterre le baril. Nos hommes le sortent du trou avec beaucoup moins de respect cette fois. Le Crédit Social leur a appris à mépriser le fétiche or. Le prospecteur, en soulevant le baril, trouve que pour de l’or, ça ne pèse pas beaucoup : « Je doute fort que ce baril soit plein d’or », dit-il. L’impétueux François n’hésite pas plus longtemps. Un coup de hache et le baril étale son contenu : d’or, pas une once ! Des roches, rien que de vulgaires roches sans valeur ! Nos hommes n’en reviennent pas :<br />
- « Dire qu’il nous a mystifiés à ce point-là, le misérable ! A-t-il fallu être gogos, aussi, pour tomber en extase devant le seul mot OR ! »<br />
- « Dire que nous lui avons gagé toutes nos propriétés pour des bouts de papier basés sur quatre pelletées de roches ! Voleur doublé de menteur ! »<br />
- « Dire que nous nous sommes boudés et haïs les uns les autres pendant des mois et des mois pour une supercherie pareille ! Le démon ! »<br />
À peine François avait-il levé sa hache que le banquier partait à toutes jambes vers la forêt.<br />
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20- Adieux à l’Île des Naufragés<br />
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Nul n’a plus entendu parler de Martin depuis l’éventrement de son baril et de sa duperie. Mais, à quelque temps de là, un navire écarté de la route ordinaire, ayant remarqué des signes d’habitation sur cette île non enregistrée, a jeté l’ancre au large du rivage. Nos hommes apprennent que le navire vogue vers l’Amérique. Ils décident de prendre avec eux leurs effets les plus transportables et de s’en retourner dans leur pays. Ils tiennent, par-dessus tout, à emporter le fameux album “Première Année de Vers Demain”, qui les a tirés de la griffe du financier Martin et qui a mis dans leur esprit une lumière inextinguible. Tous les cinq se promettent bien, une fois rendus dans leur pays, de se mettre en rapport avec la direction de “Vers Demain” et la belle cause du Crédit Social.<br />
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• De la parabole à la réalité :<br />
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Le système d’argent-dette, introduit par Martin dans l’Île des Naufragés, faisait que la petite communauté s’endettait financièrement à mesure que, par son travail, elle développait et enrichissait l’île. N’est-ce pas exactement ce qui se produit dans nos pays civilisés ? Le Canada actuel est certainement plus riche, de richesses réelles, qu’il y a 50 ans, ou 100 ans, ou qu’au temps des pionniers. Or, comparez la dette publique, la somme de toutes les dettes publiques du Canada d’aujourd’hui avec ce qu’était cette somme il y a 50 ans, il y a 100 ans, il y a trois siècles ! C’est pourtant la population canadienne elle-même qui, au cours des années, a produit l’enrichissement. Pourquoi donc la tenir endettée pour le résultat de son travail ? Considérez, par exemple, le cas des écoles, des aqueducs municipaux, des ponts, des routes, et autres constructions de caractère public. Qui les construit ? Des constructeurs du pays. Qui fournit les matériaux ? Des manufacturiers du pays. Et pourquoi peuvent-ils ainsi s’employer à des travaux publics ? Parce qu’il y a d’autres travailleurs qui, eux, produisent des aliments, des vêtements, des chaussures, ou fournissent des services, que peuvent utiliser les constructeurs et les fabricants de matériaux. C’est donc bien la population, dans son ensemble, qui, par son travail de diverses sortes, produit toutes ces richesses. Si elle fait venir des choses de l’étranger, c’est en contrepartie de produits qu’elle-même fournit à l’étranger. Or, que constate-t-on ? Partout, on taxe les citoyens pour payer ces écoles, ces hôpitaux, ces ponts, ces routes et autres travaux publics. On fait donc payer collectivement à la population, ce que la population, collectivement, a elle-même produit.<br />
<br />
Et ça ne s’arrête pas là. On fait payer la population plus que le prix de ce qu’elle a elle-même produit. Sa production, enrichissement réel, devient pour elle une dette chargée d’intérêts. Avec les années, la somme des intérêts peut égaler, ou même dépasser, le montant de la dette imposée par le système. Il arrive qu’on fasse payer la population deux fois ou trois fois, le prix de ce qu’elle a elle-même produit. Outre les dettes publiques, il y a aussi les dettes industrielles, elle aussi chargées d’intérêts. Elles forcent l’industriel, l’entrepreneur, à augmenter ses prix au-delà du coût de production, pour pouvoir rembourser capital et intérêts, sans quoi il ferait banqueroute. Dettes publiques ou dettes industrielles, c’est toujours la population qui doit payer tout cela au système financier. Payer en taxes quand il s’agit de dettes publiques ; payer en prix quand il s’agit de dettes industrielles. Les prix gonflent pendant que les taxes aplatissent le porte-monnaie.<br />
<br />
Tout cela et bien d’autres choses indiquent bien un système d’argent, un système de finance, qui commande au lieu de servir et qui tient la population sous sa domination — comme Martin tenait les hommes de l’île sous sa domination avant qu’ils ne se révoltent. Et si les contrôleurs de l’argent refusent de prêter, ou s’ils y mettent des conditions trop difficiles pour les corps publics ou pour les industriels, qu’arrive-t-il ? Il arrive que les corps publics renoncent à des projets qui sont pourtant urgents ; il arrive que les industriels renoncent à des développements ou des productions qui répondraient pourtant à des besoins. Et cela crée du chômage. Et pour empêcher les chômeurs de crever tout à fait, il faut taxer ceux qui ont encore quelque chose ou qui gagnent encore un salaire. Peut-on imaginer un système plus tyrannique, dont les maléfices se font sentir sur toute la population ?<br />
<br />
Et ce n’est pas tout. À part d’endetter la production qu’il finance, ou de paralyser celle qu’il refuse de financer, le système d’argent est un mauvais instrument financier de distribution des produits. On a beau avoir des magasins et des entrepôts pleins, on a beau avoir tout ce qu’il faut pour une production plus abondante encore, la distribution des produits est rationnée. Pour obtenir les produits, en effet, il faut les payer. Devant des produits abondants, il faudrait une abondance d’argent dans les porte-monnaie. Mais ce n’est pas le cas. Le système augmente le prix des produits, plus que l'argent disponible dans les porte-monnaie du public qui a besoin de ces produits. La capacité de payer n’est pas équivalente à la capacité de produire. La finance n’est pas en accord avec la réalité. La réalité, ce sont des produits abondants et faciles à faire. La finance, c’est de l’argent rationné et difficile à obtenir.<br />
<br />
Le système d’argent actuel est donc vraiment un système punitif, au lieu d’être un système de service. Cela ne veut pas dire qu’il faut le supprimer, mais le corriger. C’est ce que ferait magnifiquement l’application des principes financiers connus sous le nom de Crédit Social. (Ne pas confondre avec le parti politique qui prend faussement ce nom.)<br />
<br />
L’argent de Martin, dans l’Île des Naufragés, n’aurait eu aucune valeur s’il n’y avait eu aucun produit dans l’île. Même si son baril avait été réellement plein d’or, qu’est-ce que cet or aurait pu acheter dans une île sans produit ? Or, ou papier-monnaie, ou n’importe quels montants de chiffres dans le livre de Martin n’auraient pu nourrir personne, s’il n’y avait pas eu des produits alimentaires. Ainsi pour les vêtements. Ainsi pour tout le reste. Mais il y avait des produits dans l’île. Ces produits provenaient des ressources naturelles de l’île et du travail de la petite communauté. Cette richesse réelle, qui seule donnait de la valeur à l’argent, était la propriété des habitants de l’île, et non pas la propriété exclusive du banquier Martin. Martin les endettait pour ce qui leur appartenait. Ils l’ont compris quand ils ont connu le Crédit Social. Ils ont compris que tout argent, tout crédit financier, est basé sur le crédit de la société elle-même, et non pas sur l’opération du banquier. Que l’argent devait donc être leur propriété au moment où ils commençaient ; donc, leur être remis, divisé entre eux, quitte à passer ensuite des uns aux autres selon le va-et-vient de la production des uns et des autres. La question de l’argent devenait, dès lors, pour eux ce qu’elle est essentiellement : une question de comptabilité. La première chose qu’on exige d’une comptabilité, c’est d’être exacte, conforme aux choses qu’elle exprime. L’argent doit être conforme à la production ou à la destruction de richesse. Suivre le mouvement de la richesse : production abondante, argent abondant ; production facile, argent facile ; production automatique, argent automatique ; gratuités dans la production, gratuités dans l’argent.<br />
<br />
L’argent doit être au service des producteurs, à mesure qu’ils en ont besoin pour mobiliser les moyens de production. C’est possible, puisque cela s’est fait, du jour au lendemain, dès que la guerre fut déclarée en 1939. L’argent, qui manquait partout depuis dix années, est venu soudain ; et pendant les six années de guerre, il n’y a plus eu aucun problème d’argent pour financer toute la production possible et requise. L’argent peut donc être, et doit être, au service de la production publique et de la production privée, avec la même fidélité qu’il fut au service de la production de guerre. Tout ce qui est physiquement possible pour répondre aux besoins légitimes de la population doit être rendu financièrement possible. Ce serait la fin des cauchemars des corps publics. Et ce serait la fin du chômage et de ses privations, tant qu’il reste des choses à faire pour répondre aux besoins, publics ou privés, de la population.<br />
<br />
Le Crédit Social préconise la distribution d’un dividende périodique à tous. Disons une somme d’argent versée chaque mois à chaque personne, indépendamment de son emploi — tout comme le dividende versé au capitaliste, même quand il ne travaille pas personnellement. On reconnaît que le capitaliste, qui place de l’argent dans une entreprise, a droit a un revenu sur son capital, revenu qui s’appelle dividende. Ce sont d’autres individus qui mettent son capital en œuvre, et ces autres-là sont récompensés pour cela, en salaires. Mais le capitaliste tire un revenu de la seule présence de son capital dans l’entreprise. S’il y travaille personnellement, il tire alors deux revenus : un salaire pour son travail et un dividende pour son capital. Eh bien, le Crédit Social considère que tous les membres de la société sont capitalistes. Tous possèdent en commun un capital réel qui concourt beaucoup plus à la production moderne que le capital-piastres ou que le travail individuel des employés.<br />
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Il y a d’abord les ressources naturelles du pays, qui n’ont été produites par personne, qui sont une gratuité de Dieu à ceux qui habitent ce pays. Puis, il y a la somme des connaissances, des inventions, des découvertes, des perfectionnements dans les techniques de production, de tout ce progrès, acquis, accumulé, grossi et transmis d’une génération à l’autre. C’est un héritage commun, gagné par les générations passées, que notre génération utilise et grossit encore pour le passer à la suivante. Ce n’est la propriété exclusive de personne, mais un bien communautaire par excellence. Et c’est bien là le plus gros facteur de la production moderne. Supprimez seulement la force motrice de la vapeur, de l’électricité, du pétrole — inventions des trois derniers siècles — et dites ce que serait la production totale, même avec beaucoup plus de travail et de bien plus longues heures par tous les effectifs ouvriers du pays.<br />
<br />
Sans doute, il faut encore des producteurs pour mettre ce capital en rendement, et ils en sont récompensés par leurs salaires. Mais le capital lui-même doit valoir des dividendes à ses propriétaires, donc à tous les citoyens, tous également cohéritiers des générations passées. Puisque ce capital communautaire est le plus gros facteur de production moderne, le dividende devrait être capable de procurer à chacun au moins de quoi pourvoir aux besoins essentiels de l’existence. Puis, à mesure que la mécanisation, la motorisation, l’automation, prennent une place de plus en plus grande dans la production, avec de moins en moins de labeur humain, la part distribuée par le dividende devrait devenir de plus en plus grosse. Voilà une tout autre manière de concevoir la distribution de la richesse que la manière d’aujourd’hui. Au lieu de laisser des personnes et des familles dans la misère noire, ou de taxer ceux qui gagnent pour venir au secours de ceux qui ne sont plus utilisés par la production, on verrait tout le monde assuré d’un revenu basique par le dividende. Ce serait en même temps un moyen, bien approprié aux grandes possibilités productives modernes, de réaliser dans la pratique le droit de tout être humain à l’usage des biens matériels. Droit que chaque personne tire du seul fait de son existence.<br />
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Nombreux, en plusieurs pays, ceux qui voient dans le Crédit Social de Douglas ce qui a été proposé de plus parfait pour servir l’économie moderne d’abondance, et pour mettre les produits au service de tous. Il reste à faire prévaloir cette conception de l’économie, pour qu’elle devienne une réalisation dans la pratique. Malheureusement, au Canada, des politiciens ont galvaudé les deux mots « Crédit Social » en les prenant pour désigner un parti politique. C’est le plus grand tort qui ait jamais été fait à là compréhension et à l’expansion de la doctrine de Douglas. C’est devenu une source de confusion et une cause de défiance. Bien des gens refusent a priori d’entendre parler de Crédit Social parce qu’ils y voient un parti politique, et ils ont déjà donné leur allégeance à un autre parti. Pourtant, le Crédit Social, authentiquement compris, n’est pas du tout un parti politique. C’est exactement le contraire. Le fondateur même de l’école créditiste, C.H. Douglas, connaissait certainement mieux sa doctrine que n’importe qui ; infiniment mieux surtout que les petites têtes enflées qui veulent se servir de l’idée superficielle qu’ils en ont pour essayer de satisfaire leurs ambitions politiques. Or, Douglas a déclaré carrément qu’il y a incompatibilité entre Crédit Social et politique électorale. Parti politique et Crédit Social sont deux termes qui s’excluent l’un l’autre, par leur nature même, par leur but, leur moteur, leur esprit. Les principes du Crédit Social reposent sur une philosophie. Et cette philosophie donne la priorité à la personne sur le groupe, sur les institutions, sur le gouvernement lui-même. Toute activité faite au nom du Crédit Social authentique doit être une activité au service des personnes.<br />
<br />
C’est un tout autre moteur qui anime et oriente les activités d’un parti politique. Tout parti politique, ancien ou nouveau, a pour but premier de conquérir ou de garder le pouvoir, de devenir ou de rester le groupe qui gouvernera le pays. C’est la recherche du pouvoir pour un camp. Le Crédit Social, au contraire, conçoit le pouvoir redistribué à tous : le pouvoir économique, par un dividende périodique permettant à chaque individu de passer des commandes à la production de son pays ; le pouvoir politique, en faisant de l’État, des gouvernements à tous les échelons, la chose des personnes, et non pas les personnes la chose de l’État. C’est le gouvernement qui intéresse les partis politiques. Tandis que c’est la personne, l’épanouissement de la personne qui intéresse le vrai créditiste. La politique de parti porte les citoyens à abdiquer leur responsabilité personnelle, le parti mettant toute l’importance sur le vote, sur un acte de quelques secondes que le citoyen accomplit caché derrière un écran, après avoir été servi de ragoût électoral à toutes les sauces pendant quatre semaines. Le Crédit Social, au contraire, apprend aux citoyens à prendre eux-mêmes leur responsabilité, en politique comme dans le reste, et en tout temps, se faisant la surveillance et la conscience des gouvernements, clamant la vérité et dénonçant les injustices sans répit partout où elles se trouvent. Tout parti politique contribue à diviser le peuple, les partis luttant les uns contre les autres à la recherche du pouvoir. Or, toute division affaiblit. Un peuple divisé, affaibli, se fait mal servir. La doctrine du Crédit Social, au contraire, rend les citoyens conscients des aspirations fondamentales communes à toute personne. Un mouvement créditiste authentique apprend aux citoyens à s’unir pour des demandes sur lesquelles tous s’accordent, à faire au besoin des pressions concertées sur les gouvernants, quelle que soit l’équipe au pouvoir. C’est pour cela que le journal “Vers Demain” recommande en politique la pression du peuple groupé en dehors des parlements, mais agissant sur les gouvernements, afin que les élus du peuple légifèrent dans le sens du Crédit Social.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?xuUnLQ">Permalink</a>)Histoire Antique - Les Bâtisseurs D'empires - La Chine ou la folie des grandeurs - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?_IY59ALes bâtisseurs d'empires<br />
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De tous les grands empires qui ont émergé depuis 4 000 ans, seule la Chine a résisté à l'épreuve du temps.<br />
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Siècle après siècle, les puissants monarques chinois ont mobilisé des armées de paysans pour bâtir des ouvrages uniques, fruit d'innovations techniques révolutionnaires.<br />
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Avant la construction des premières pyramides égyptiennes, la Chine ancienne regorgeait déjà de somptueux palais royaux.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?_IY59A">Permalink</a>)Opus dei, une croisade silencieuse - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?Pt6ajQTableau saisissant et terrifiant d'un système sectaire qui infiltre et manipule ; ses adeptes ne sont pas des victimes et s'expriment librement à travers ce film.<br />
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En 1974, huit mois après le coup d'État contre Salvador Allende, Escriva de Balaguer, fondateur de l'Opus Dei et proche de Franco, se rend en visite au Chili pour 'saluer la noble croisade ' menée contre le communisme. Depuis, il a été canonisé par Jean Paul II. Si l'Opus Dei a su convaincre dans tous les pays du monde, créant autour de l'Oeuvre un cercle vertueux de sympathisants et d'adeptes parmi les plus humbles mais aussi dans les hautes sphères politiques et économiques de la planète, il semble que son rôle au Chili atteigne aujourd'hui un niveau jamais atteint. Joaquin Lavin, membre avoué, a été candidat aux élections présidentielles de janvier 2006. Le film, revenant sur les origines de ce mouvement, entraîne le téléspectateur au coeur de l'Opus Dei , de ses écoles de formation, et au sein de son système fondé sur le principe de recherche de la sainteté et de l'antiprogrès. Tableau saisissant et terrifiant d'un système sectaire qui infiltre et manipule ; ses adeptes ne sont pas des victimes et s'expriment librement à travers ce film.<br />
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Documentaire réalisé par Marcela Saïd Cares et Jean de Certeau, et produit par Valparaiso Productions, avec la participation de Planète, TV5 Monde, la TSR, SBS-TV australia, la RTBF et du CNC, avec le soutien de la Procirep-société des producteurs et l'Angoa, et du Fondart. 2006.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?Pt6ajQ">Permalink</a>)▶ l'arme invisible - YouTubehttps://docusdunet.net/shaarli/?Lpk9_QCe documentaire, réalisé pour Discovery Canada et CTV, enquête sur la réalité moderne d' armes qui sont plus effrayant que n'importe quelle science-fiction. Aujourd'hui, les scientifiques sont capables de détruire complètement tous les circuits électroniques et électriques de communication en utilisant les Electronic Magnetic Pulse (EMP), des armes qui peuvent être envoyées par des missiles ou par des lasers. Ils peuvent dévaster des régions entières en quelques secondes, effaçant tout ce qui utilise l'électricité, qu'il s'agisse d'avions, aux ordinateurs, aux téléphones. Ce documentaire montre pour la première fois des images de l'île Bell "éclair", expérience qui a mal tourné.<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?Lpk9_Q">Permalink</a>)▶ USA IRAK Ce.Que.Bush.Veut.Cacher - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?DS2TJALes dossier sur le régimes de sadam hssein et le gouvernement americain de bush père ( cia afghanistan, les taliban en iran les molla et le génocide kurde. Enquête sur les arme chimique rebellion attentat insurrection complicité abus de pouvoir détournement de fonds des matières premières et ressources minières pétrole et gaz. Sans oublier les dessous de l'embargo grace a l onu<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?DS2TJA">Permalink</a>)un virus qui fait débat 1.4 - Vidéo Dailymotionhttps://docusdunet.net/shaarli/?GKQNBgEntre mesures sanitaires et intérêts économiques, sur quels critères se basent les décisions de l'OMS ?<br>(<a href="https://docusdunet.net/shaarli/?GKQNBg">Permalink</a>)