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Né en 1961, Benjamin Fulford est un journaliste et un auteur d'origine canadienne vivant au Japon, connu pour ses théories conspirationnistes. De 1998 à 2005, il a été rédacteur en chef du magazine Forbes section asiatique[1],[2].
Benjamin Fulford descend du clan Fulford, une famille noble du Canada, et fait état d’une ascendance juive polonaise du côté de sa mère. Son père ayant été un ambassadeur canadien[3], son enfance fut partagée entre Ottawa et plusieurs pays d’Amérique latine. Après des études effectuées au Japon, il retourne dans ce pays vers le milieu des années 1980 pour poursuivre sa carrière de journaliste et de correspondant pour Knight Ridder, International Financing Review Magazine, Nihon Keizai Shimbun English Edition et South China Morning Post, avant de travailler pour Forbes[4]. Ses rapports d'enquêtes révélèrent des scandales au sein du gouvernement japonais et du monde des affaires[5]. Après avoir quitté Forbes il écrit une série de livres en japonais[6]. Il devient citoyen de ce pays en 2007. Sa popularité s’accroit sur Internet lorsqu’il réussit à obtenir une entrevue avec le très reclus David Rockefeller, en novembre 2007[7].
Il a accordé un certain nombre d’entrevues à des théoriciens conspirationistes, et revendique certaines thèses très controversés :
Le SIDA et le SRAS sont des armes bactériologique destinées à réduire la population asiatique.
Une société secrète chinoise forte de 6 millions de membres, dont 1,8 million de gangsters et 100 000 assassins professionnels, défie les Illuminati et menace d’en éliminer les principaux chefs s'ils persistent à dépeupler l’Asie[8].
Cette société a créé une alliance regroupant la Russie, la Chine, l'Inde, l'Amérique du Sud, l’ASEAN, les nations libres musulmanes et l'Afrique pour s’opposer aux Illuminati[9].
Les attentats terroristes du 11 septembre 2001 ont été organisés par le gouvernement américain.
Le Pentagone, l'industrie pétrolière et l'industrie pharmaceutique cachent des inventions secrètes concernant l’énergie libre et la technologie anti-gravitationnelle pour maintenir leur pouvoir.
Les États-Unis sont capables de contrôler le climat (tempête de 1999 en France), et utilisent l'énergie des micro-ondes pour produire des tremblements de terre (Japon 2007 et Chine 2008) et des raz-de-marée (Océan Indien 2004), dans le cadre du projet HAARP, héritier des recherches menées par Nikola Tesla peu avant 1900.
http://www.projectcamelot.org/
http://www.rense.com/Datapages/fulfdat.htm